Les 3 Expériences Féminines de l’Homme, celle du Ventre, du Face à Face avec sa Mère et le Vécu avec l’Epouse !!! – Inédit ! – Maamar \ »En ce Jour – 28 Novembre 2011

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MP4 MP3 S’il existait une médaille de platine des secrets de la vie, nous la décernerions à ce cours et surtout à son auteur.
En à peine plus d’une heure, vous allez découvrir le secret des lettres qui forment le nom Machiah, la place des âmes par rapport au corps, les dessus et dessous de la connaissance et le mystère dévoilé du parcours de l’homme de l’étape fœtus au mariage en passant par la découverte avec la mère !
Ce cours qui regorge de dévoilements n’est cependant qu’une étape nécessaire avant d’atteindre le but ultime : Le Comment et le Pourquoi de notre existence, de notre mission !
Afin d’optimiser et de profiter au mieux de ce cours, nous vous invitons à la plus grande rigueur et à la plus grande concentration.
Nous vous rappelons que nous sommes dans la suite du maamar du rabbi !
On commence et juste avant, une courte phrase qui en dit long, histoire de se mettre en condition :
Une vie de devoir est l’expression la plus haute de bonheur à condition de comprendre le sens de nos devoirs ! Vous ressentez un peu l’ambiance du moment…alors, on y va !
La Hokhma, nous dit le rabbi, se divise en 2 niveaux fondamentaux, l’eau et l’huile.
L’eau fait allusion à la dimension visible de la Hokhma et l’huile (d’olive) fait allusion à la dimension cachée de la Hokhma.
La Hassidout s’efforce toujours de faire descendre des concepts abstraits au niveau de l’homme et nous devons ensuite la décrypter. Sans la Hassidout, nous ne pourrions habiller tous les concepts de la Kabala.
Dans le vécu humain, le rabbi rajoute qu’il y a dans l’homme le Koah Hamaskil (la force de l’intelligence) qui permet de faire sortir l’intelligence cachée !
Koah Hamaskil est la force qui permet la réalisation de l’intellect !
L’huile serait la matrice de l’eau (pas au niveau physique) car le Koah Hamaskil engendre le Cékhel ! Avant de glisser sur une traduction incomplète, abordons de nouveau les mots Koah Hamaskil.
D’une manière globale, Il y a 4 mots pour désigner l’intelligence : la Hokhma, le Cékhèl, la Bina et le Daat !
Le Daat est l’intelligence vécue, c’est l’expérience, la connaissance vécue (Adam a connu sa femme Hava) !
La Bina, c’est ce que l’homme investit avec ses efforts personnels et son expérience jusqu’à la solution ! Dans le système de la Bina, la réponse est la suite logique de nos propres réflexions ! L’effort et le résultat s’inscrivent dans une logique implacable !
Adam, valeur numérique 45 est également celle de Ma (question) comme pour nous dire que l’homme est celui qui se pose des questions ! L’essence de l’homme est donc un questionnement !
Dans le système de pensée de type Hokhma, le résultat est une révélation qui vient d’ailleurs ! Il y a l’effort mais la sagesse ne vient pas de nous. Mieux encore, il est impossible de définir la source de cette découverte (c’est une Néfila, c’est une chute) !
Le Cékhel fait partie de la dimension Hokhma. La partie voilée de la Hokhma est le Cékhel ! Quand l’homme réfléchit en toute liberté, c’est l’Hitbonénout.
Quand l’homme réfléchit sur des données imposées, quand l’homme étudie une réalité imposée, c’est le Koah Hamaskil !
Le Koah Hamaskil s’appelle dans le langage de la Kabala, Hokhma Stima qui est comparée à l’huile. Cette même Hokhma est constamment bouchée et voilée et elle est celle qui engendre le Guilouyi, la réalisation !
La réponse ne vient jamais comme un aboutissement de recherche cause à effet.
La Bina, c’est l’homme qui réfléchit en toute liberté, étape par étape, l’homme bâtit lui-même toute une théorie.
Cette liberté a un prix, c’est de ne pas sortir de notre propre réflexion !
Dans le monde de la Hokhma, il y a une préparation intellectuelle mais le résultat n’est pas du tout la conséquence du processus de recherche. La réponse tombe, elle vient d’en haut, elle est comme la lumière qui s’allume !
L’excellent produit des choses excellentes alors que le génie n’est pas la matrice de ce qu’il produit !
Bina : Le parcours est l’expression d’un moi extrêmement bien investi ! Et le Mévine (le sage qui comprend) ressent une excitation qui est l’expression de son moi !
Hokhma : Même si la connaissance est le résultat d’un effort considérable, le Hakham sait que cette connaissance lui est envoyée d’ailleurs et c´est ce qui doit entrainer, à priori, chez lui une très grande humilité car il sait que rien ne lui appartient ! Le Hakham travaille toute sa vie à se faire creux, à devenir un réceptacle digne ! Il est comme la lune qui ne fait que retransmettre une lumière qui n’est pas d’elle !
Si le Mévine ne devient pas prisonnier de sa propre grandeur, il peut, s’il se travaille, devenir un Hakham ! Sinon, il y a danger d’ivresse et le Mévine ne pourra pénétrer le monde de la Hokhma !
Si on est notre propre source, on ne peut aboutir qu’au résultat logique de notre propre réflexion. Je pense donc je suis !
Si on se met en disposition de recevoir, on reçoit le résultat de beaucoup plus haut que nous !
Il y a, donc je pense !
La Torah est une Kabala, on l’a reçoit !
Le vrai savant est celui qui sait qu’il n’est pas le maitre de sa sagesse !
Moshé le plus grand de tous les hommes est aussi le plus humble des hommes car il comprend que tout ce qu’il sait a été reçu ! Il s’est tellement vidé de son Moi qu’il a pu être le réceptacle de l’infini !
Les créateurs sont des êtres brisés !
D., pour remplir le monde de sa connaissance, se sert d’ustensiles brisés, D. se sert d’hommes brisés !
C’est pourquoi le rabbi insiste sur le fait que la source de la Hokhma est totalement voilée car il sait qu’au moment ou le Hakham reçoit, il ne sait pas d’où il reçoit !
Et le vrai savant doit savoir que tout ce qui lui vient n’est pas de lui ! D’ailleurs, cette découverte lui vient souvent au moment le plus inattendu et souvent à un moment banal de sa vie !
Le Hakham ne cherche pas la réponse, il se met en position de recevoir !
Les grands savants sont souvent des marginaux car la normalité (le monde de la Bina, l’expression du moi) ne peut les supporter !
Mais c’est en étant des exclus qu’ils vont cultiver une brisure et vont recevoir d’en haut !
Dans le domaine de la Torah, plus un homme est grand plus il est humble car la Torah nous apprend que plus l’homme se vide, plus il va recevoir !
L’eau (qui fait aussi allusion à la pluie, la connaissance de la Torah et c´est l´essentiel de la vie) est ce que je reçois dans ma conscience. Le travail du juif est de sanctifier le vin (Kidouch), il doit s’élever au dessus de sa propre compréhension.
‘Véal Binatékha Al Téchaène’, Sur ta Bina, ne te reposes pas, nous dit le roi Chlomo !
L’huile est la source mystérieuse et cachée qui produit la connaissance !
L’huile est l’essence et l’essence de la connaissance est cachée !
Adam avait le choix entre l’intelligence exaltée et l’intelligence reçu et il a fait le choix du vin, de l’intelligence qui produit ! Il aurait du se préparer à recevoir et il aurait reçu de beaucoup plus haut.
Voila la faute d´Adam Harichone, expliquée une fois de plus sous un autre angle!
Hokhma et Hahayim ont la même valeur numérique comme pour dire que n’est vivant que celui qui se prépare à recevoir.
Après cette mise en bouche, nous vous invitons à passer à table pour une série de surprises et dévoilements !
Quand Moshé reçoit sa mission pour être le premier libérateur, D. lui révèle le nom d’Avayé(c´est le nom qu´on ne peut prononcer comme il s´écrit) et il rajoute ‘Zé Chémi Léolam’, C’est mon Nom pour l’éternité. Or, nous remarquons que le mot Léolam est écrit sans Vav et peut être lu Léélème, caché.
Nous lisons donc : c’est mon Nom et caches le !
En effet, le véritable nom ne pourra se lire que lors de la délivrance finale !
Rav Dynovisz nous invite à nous arrêter sur le mot Chémi dont les initiales forment Chine (Chémène, huile), Même (Mayim, eau) et Youde (Yayine, vin) !
D. dit à Moshé : tu ne peux connaître mon nom que si tu connais ces 3 dimensions mais l’essence de la connaissance est caché, il s’agit des secrets de la Torah !
Le Zohar nous dit que jusqu’à la délivrance finale, l’homme ne peut arriver qu’au MI car l’essence des secrets ne se dévoilera qu’avec le Machiah. Et le Ma, ce sont les questions que se pose l’homme !
Le Zohar, la Kabala et la Hassidout ne sont que…l’eau de la Torah cachée ! Eh oui, seulement malgré leur infinie et indicible sagesse…ca laisse songeur !
Le Machiah s’appelle Oint car il est celui qui va faire une connexion entre l’huile et la tête !
Les initiales du mot Machiah forment Chine (Chémène, huile), Meme (Mayim, eau) et Youde (Yayine, vin) plus le Hète représenté par le Halave, le lait.
A qui donne-t-on le lait ? Aux petits enfants ! En effet, le Machiah est celui qui arrive à rejoindre l’extrême haut et l’extrême bas, il sera celui qui arrivera à faire descendre la connaissance la plus haute dans le ´biberon des enfants´ !
Tout ce qui vient de nous être servi est à la fois riche et délicieux et malgré la simplicité apparente des notions, nous aurions besoin de digérer durant quelques milliers d´années toutes ces merveilles !
C’est vrai…mais nous n’avons plus le temps, le Machiah est à nos portes et la délivrance finale s’est déjà introduite de manière discrète(pas si discrète pour celui qui a des yeux pour voir) dans notre monde depuis nombres d’années!
A l’instar d’Avraham ou de tous les grands de notre histoire, le rav sert lui-même ses invités.
Aussi, Ne bougez pas et contentez vous de bien déguster le prestigieux et sublime dessert qui arrive!
Au début, l’enfant est inclus dans la mère, il est comme l´un de ses membres et il ne la connaît pas, il n’a pas de face à face avec elle !
La naissance les met en relation et commence alors la perception de l’autre.
Un peu plus tard, l’homme rencontrera l’épouse.
L’être humain homme a 3 expériences féminines, celle du ventre de sa mère, le face à face avec la mère et ensuite le véritable vécu avec l’épouse !
Nos maitres nous révèlent que le corps se trouve dans la partie….essentielle de l’âme !
L’âme a 2 parties fondamentales, une qui rentre dans le corps et une qui reste à l’extérieure du corps. Cette partie extérieure de l’âme est son essence, cette partie contient le corps et si nous devions donner une image qui est plus qu’exacte et liée à ces notions, nous parlerions de l’équation Placenta, Poche et Cordon ombilical!
Tous les hommes se trouvent à l’intérieur de ce placenta jusqu’à la délivrance finale car l’humanité n’est pas encore née !
Ça valait la peine de rester jusqu’au dessert !
Cette révélation servie par rav Dynovisz trouve sa source entre autres chez le Ari Hakadoch.
Avant lui, l’éminent et néanmoins discret Mékoubal qu’est Rachi, connu ou plutôt méconnu pour n’être qu’un Pchat (premier niveau d’explication de la Torah) nous révélait ce grand secret par allusion !
Au moment de la formation de l’homme, Rachi remarque une chose incroyable dans le verset parlant de cette notion: Vayétser est écrit avec 2 Youde et il explique que chaque Youde fait allusion à 2 formations car l’homme va naitre 2 fois ! Le Youde a d’ailleurs la forme d’une semence.
En un seul Rachi, tous les secrets de la Kabala !
L’âme qui sert de placenta (un peu visqueux comme de l’huile) à la création de l’homme est l’essence de l’âme qui ne peut rentrer dans le corps et il ne rentre en l´homme qu’un simple faisceau d’âme. L’âme est comme un soleil qui rayonne à l’intérieur !
La naissance, c’est la mise en relation avec l’essence, il y a encore la distance ! Machiah fait prendre conscience de cette essence !
Plus tard, c’est le mariage, c’est le moment ou on se lie avec l’essence ! C’est l’expérience du vécu qui permet du fusionner l’essence et l’homme !
D’où l’importance inimaginable de la réussite dans le couple !
Un homme qui aurait tout réussi mais aurait raté son mariage aurait tout….raté ! Comme c´est important (le mot est faible) et malgré la longueur de ce texte, nous écrivons de nouveau cette phrase clef : ´ Un homme qui aurait tout réussi mais aurait raté son mariage aurait tout….raté !´
La Bina ne nous permet d’accéder qu´au rayonnement de notre âme qui est à l’intérieur.
La Hokhma nous permet d’accéder à l’essence de l’âme qui est à l’extérieur !
L’essence de la Hokhma a 2 niveaux, l’eau et l’huile !
Au premier instant de la naissance, la femme perd ses eaux pour rentrer dans le monde de l’huile.
Nous avons vu tout à l’heure que le monde était en attente du Hète(la lettre Hète et ce qu´elle représente) pour que se dévoile le Machiah mais Hète désigne aussi…la faute car la réparation doit venir de l’intérieur. Magnifique ! Chaque notion méritait mille millions de cours…et encore !
La Bina est la vie de tout à chacun durant un long moment. C’est une vie de recherche, c’est une vie dans le monde du choix et non du devoir ! D’où les changements et transformations de l’existence car l’homme n’est pas encore lui-même ! La Bina, c‘est excitant mais la Bina enivre !
Ensuite, l’homme en recherche de vérité, commence à se stabiliser, il commence à se trouver, il commence à trouver l’eau, il se dessaoule ! Sa vie est moins excitante mais il trouve sa place ! Il rentre alors dans le monde de la Hokhma !
Mais pour comprendre le secret de notre mission, c’est l’huile et ca ne se révèle quasiment jamais sauf aux êtres d’élites sur le plan moral.
Mais comment trouver sa mission et surtout pourquoi sommes nous sur terre ?
Ne manquez surtout pas les prochains épisodes !


11 juillet 2018
  1. Discussion entre Bébé-Athée et Bébé-Croyant

    Dans le ventre de la mère deux bébés parlent. L’un est croyant l’autre non. L’un demande à l’autre :
    Bébé-Athée : Et toi, tu crois à la vie après l’accouchement ?

    Bébé-Croyant : Bien sûr. C’est évident que la vie après l’accouchement existe. Et ici nous sommes juste pour devenir forts et prêts à ce qui nous attend après.

    BA : Tout ça c’est insensé. Il n’y a rien après l’accouchement…. Est-ce que tu peux toi imaginer à quoi une telle vie pourrait ressembler ?

    BC : Eh bien, je ne connais pas tous les détails. Mais là-bas il y aura beaucoup de lumière, beaucoup de joie. Et par exemple là-bas on va manger avec notre bouche.

    BA : Mais c’est du n’importe quoi ! Nous avons notre cordon ombilical et c’est ça qui nous nourrit. Et de cette autre vie il n’y eu encore aucun revenant. La vie tout simplement se termine par l’accouchement.

    BC : Non ! ….Je ne sais pas exactement à quoi cette vie après l’accouchement va ressembler mais dans tous les cas nous verrons notre maman et elle prendra soin de nous.

    BA : Maman ? Tu crois en maman ?? …Et où se trouve-t-elle ?

    BC : Mais elle est partout ! Elle est autour de nous ! Grâce à elle nous vivons, et sans elle nous ne sommes rien.

    BA : C’est absurde ! Je n’ai jamais vu aucune maman donc c’est évident qu’elle n’existe pas.

    BC : Non, je ne suis pas d’accord. Car, parfois lorsque tout devient calme, on peut entendre quand elle chante…sentir quand elle caresse notre monde…. Je suis certain que notre Vraie vie ne va que commencer après l’accouchement….

  2. Magnifique message d\’Eve quartino !! merci !

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