Chéma’ Israël – Retrouver l’Unité – Vaykra 2 – Cours Vidéo Torah Judaïsme – 16 mars 2010

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MP4 MP3 Cours Vidéo Torah Judaïsme, l’homme est prisonnier de sa nature, nous devons briser notre nature sinon la transformer.
Nous commençons ce jour le décodage de la Paracha Vaykra à la lumière du Zohar et de son auteur rabbi Chimone Bar Yohai. Le Rav zoome sur le premier verset et remarque qu’à partir de vaydaber, nous trouvons 6 mots et 25 lettres. La seule fois ou nous remarquons cette numérotation dans la Torah est à propos du verset Chema’ Israël. Ensuite le Aleph de Vaykra est écrit en petit, ça doit nous interpeller. Le Rav va bien évidemment répondre à ces questions. En réalité, ce livre qui est le plus scellé et le plus mystérieux est le livre de la délivrance. Comment construire l’homme pour qu’il s’approche de son Créateur ? Il faut apporter un Animal, nous dit le texte, sous entendu, D.ieu demande à l’homme de lui apporter sa nature, de lui offrir, et donc de se soumettre. Mais à qui ? À la dimension de D.ieu qui est au dessus de la nature.
La fausse religion sublime son manque, elle fait un D.ieu de son inaccessible. A travers cette réflexion du Rav Achkénazi, le Rav Dynovisz aborde les 2 types d’hommes : celui qui transforme le monde pour le rentabiliser et celui qui le transforme pour l’embellir. Comment concilier pragmatisme et rêverie ? Encore un cours dans la lignée des autres, c´est-à-dire passionnant, élevé et plein de nouveauté et d’enseignements !


6 juillet 2018
  1. C\’est tout à fait vrai. Je ne sais absolument pas faire de l\’argent avec mon art. Je vis de miracles et d\’eau fraîche.

  2. Chalom Rav,

    Lors de votre premier cours sur Vaykra, vous êtes revenu sur la céeation de l\’homme, en nous rappelant qu\’elle est intervenue le sixième jour de la Création, juste après que Hachem ait créé les animaux domestiques. Cette proximité temporel, révelait, si j\’ai bien compris votre enseignement,une sorte de \ »lien de parenté\ » entre l\’homme et l\’animal, à savoir qu\’en chaque homme se cache un animal, ou plus justement chez certains animaux superieurs,l\’homme, se cache un Adam.
    De plus,vous nous avez fait remarquer que la Torah employait un pluriel pour désigner le Créateur de l\’homme et vous nous avez expliqué que cette formulation était une \ »manoeuvre divine\ » pour calmer la \ »jalousie\ » des anges en les associant de façon purement symbolique à l\’acte de création de l\’Homme.
    Cependant, si votre enseignement ne peut-être d\’aucune façon remise en cause puisqu\’il est une part de l\’héritage des Maitres d\’Israel, ne peut-on pas malgré tout, lire dans ce pluriel un autre message.
    Ne peut-on pas imaginer, que Hachem s\’est associé plusieurs partenaires dans son acte creatif de l\’homme? Certains, passifs, les anges, à titre honorigique et d\’autres, actifs l\’homme lui-même en tant que cheville ouvrière.
    Ainsi, l\’on pourrait comprendre ce \ »Vaykra\ » introductif de notre Paracha et répondre a votre question qui donc appel Moshe avant que Hachem ne lui parle? Et bien c\’est Moshe lui-même. Seul une aspiration personnelle et interieur, peut initier un rapprochement vers D…. Chaque homme doit entendre son \ »Lech leha\ » et son \ »Vaykra\ » afin d\’accomplir pleinement le rôle que lui a été attribué par le Seigneur, l\’achèvement de la creation de l\’homme, en révélant le Adam qui sommeil en nous:
    אדם כי יקריב מיכם.
    Peut-être n\’ai je qu\’enfoncé des portes entrouvertes que vous étiez sur le point d\’ouvrir largement, n\’ayant pas eu la patience ni la sajesse d\’écouter jusqu\’au bout la fin de votre enseignement, avant de me ruher bestialement sur mon clavier d\’ordinateur.
    Merci Rav
    Aaron B – Cohav Hacharar.

  3. Il y avait jadis une âme qui se savait lumière. Comme c\’était une âme neuve, elle avait hâte de faire des expériences. «Je suis la lumière, disait-elle. Je suis la lumière.» Mais elle avait beau le savoir et le dire, cela ne remplaçait pas l\’expérience de la chose. Et dans le royaume d\’où émergeait cette âme, il n\’y avait que de la vie. Chaque âme était grande, chaque âme était magnifique et chaque âme luisait de l\’éclat de Mon imposante lumière. Alors, la petite âme en question était comme une chandelle au soleil. Au 19

    milieu de la plus grande lumière (dont elle faisait partie), elle ne pouvait ni se voir, ni faire elle-même l\’expérience de Qui et de Ce Qu\’Elle Est Vraiment.

    Alors, cette âme se mit à aspirer de plus en plus à se connaître.

    Et si grande était son aspiration qu\’un jour Je lui dis: «Sais-tu, Petite, ce que tu dois faire pour satisfaire ton aspiration?»

    «Quoi donc, Dieu? Quoi? Je ferais n\’importe quoi!» dit la petite âme.

    «Tu dois te séparer de nous, lui répondis-Je, puis tu dois invoquer l\’obscurité sur toi.»

    «Qu\’est-ce que l\’obscurité, ô Divin?» demanda la petite âme.

    «C\’est ce que tu n\’es pas», lui répondis-Je, et l\’âme comprit.

    Alors, c\’est ce que fit l\’âme : elle se détacha du tout, mais oui, et se rendit même dans un autre royaume. Et dans ce royaume, l\’âme avait le pouvoir d\’invoquer dans son expérience diverses sortes d\’obscurité. C\’est ce qu\’elle fit.

    Mais au milieu de toute l\’obscurité, elle s\’écria : «Père, Père, pourquoi m\’as-Tu abandonnée?» Tout comme tu l\’as fait, toi, à tes heures les plus sombres. Mais Je ne t\’ai jamais abandonné, Je te suis toujours fidèle, prêt à te rappeler Qui Tu Es Vraiment; prêt, toujours prêt, à te ramener chez toi.

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