Ni les Seins Nus Ni les Yeux Voilés ! – Paracha Kédochim – 27 Avril 2011

Bonjour
merci pour votre intérêt passant outre le fait que la formulation de mes propositions est laconique et peu claire.
Je reviens à partir d\’un autre texte, La lettre sur la sainteté, Ed verdier , auquel donc je n\’accède qu\’en français.
Résumé : moyennant un certain nombre de dispositions (entendre pratiques, actes) sur un certain nombre de plans (alimentaire, horaire, intention, attention, parole etc) l\’unification d\’un couple produit un certain effet. En l\’occurrence un engendrement « adéquat », ou « parfait », je suppose que
le mot « tov » convient mieux ici pour qualifier. Tov pour l\’ensemble des dispositions préalable, pour l\’accouplement et pour l\’enfant.
Le dispositif impliquant une part active et passive de chaque membre distinct du couple, correspond pour partie à ce que nous nommons une manipulation génétique. Différent au moins les outils et peut être la visée. Pkd féconder.
Deux tiers :
Le couple se dispose en étant polarisé vers, par et pour un tiers, étant donné que la disposition du couple est déterminante (elle produit nécessairement un certain effet qui en est entièrement déterminé) l\’on peut penser que le tiers est « indéterminant ».
Indéterminant ou surdéterminant, autrement dit ce tiers est garant que l\’autre tiers à venir (que sera l\’enfant) est à la fois entièrement conforme au dispositif dont il procède et en cela même radicalement autre, ou nouveau. Le tiers est garant de l\’unicité de l\’enfant,de sa singularité indéterminée paradoxalement produite par une dualité, et des déterminations absolues et rigoureuses. L\’enfant est adéquat aux déterminations dont il procède en cela même qu\’il les excède, qu\’il en révèle la limite, ouverte à l\’in-fini.

Accouplement et enfantement singuliers.
Voir ici :
http://books.google.it/books?id=QV14nePQ0d8C&pg=PA457&lpg=PA457&dq=abulafia+abraham&source=bl&ots=6iUK0BwkDH&sig=uQQLOjab2tYcIVWUddFCvu8uP4c&hl=it&ei=Sd-7TdHEDNjT4wal29HgBQ&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=6&ved=0CEkQ6AEwBTgU#v=onepage&q=abulafia%20abraham&f=false
Je ne garanti pas que la page soit disponible, en effet elle semble accessible parfois et disparaître d\’autres fois.
Le propos général y est le suivant, A.Aboulafia établi une correspondance très stricte entre l\’accouplement humain et la plus haute relation possible avec D. .L\’affaire est connue, du « Adam connu… » au Cantique des cantiques.
L\’on peut comprendre que l\’un des protagonistes en bas se disposant à l\’accouplement l\’autre en haut, en retour et en proportion s\’y dispose. Problématique me semble t il devient alors la place du tiers.
Dans l\’accouplement « homme/femme » vu ci dessus un tiers est « Hashem », un autre l\’enfant.
Mais si l\’accouplement a lieu avec Hashem comme partenaire qui à ce moment là en tient lieu au dehors ou qui tient lieu de dehors garant de l\’indétermination ?
Peut être faut il réduire : accouplement avec Elokim (ce qui donne prise au « serpent » et à Paro), ce qui relève des dispositifs (jours) préalables à la « création » de l\’Adam en son lieu.
Au niveau Elokim, tov vé ra,les déterminations naturelles (nature/neter d\’ egypte ? Ntr ).
Lisible entre autre ici : Pé Ra. Pé ouvert/tov, bouche (Ptah en égypte), Ra fermé/ra (cercle et point au centre), se souvenir que le soleil n\’est pas Ra mais l\’oeil de Ra.
Hashem, point / ligne droite et \ »un/deux\ » fonctionnel(s), à différents niveaux.
La figure d\’ Egypte fonctionne en contraction dilatation, inspiration expiration, simultanément du point à la circonférence et de la circonférence au point, c\’est au maximum une sphère sphérisante.
La ligne droite, le vav, vaut rayon ; cependant si elle ne valait que rayon elle demeurerait seulement une figure possible du point/cercle, ce qui ne sortirait pas d\’Egypte.
La différence, la sortie se comprend si l\’on considère simultanément deux positions de la ligne en référence au centre, soit un angle (seconde lettre en angle droit et au carré).
Le tétragramme peut alors graphiquement (ce qui n\’épuise pas son possible) se voir et s\’entendre, comme  « accouplement » de sphère(s) et cube(s).
Ici guématria renvoi à géométrie, mesure de la terre ; voir aussi des combinaisons de G M R T
Les combinaisons mathématiques ne sont pas une fin en soi mais outil de géométrisation.
Il est le \ »lieu\ » du monde / le monde n\’est pas son \ »lieu\ ».
A distance de la relativité espace/temps entendons ici \ »lieu\ » (au moins espace) avant le temps, alors le temps y serait un… retard.
Mashia : qui remet les pendules à l\’heure ?
La géo métrie induit une géo graphie.
Déterminons un point de singularité sur la carte : Jérusalem et un point dans ce point et un point dans ce point etc.
En circonférences (pluriel), une multiplicité de cercles.
Etant donné un temps ; ce jour, se voit ceci : encerclement quasi parfait et absolu à différents niveaux, mieux qu\’encerclement l\’on pourrait dire « ensphérement ».
Temps paradoxal, d\’un côté la figure est inédite nouvelle, d\’un autre elle est un donné à priori, plus ancien que tout nouveau.
Un temps nouveau déjà là depuis tout jour !
En dynamisant la figure selon le système d\’Egypte (contraction dilatation) on obtient une inversion possible des polarités selon laquelle l\’encerclé peut être « l\’ encercleur ». Bonne nouvelle.
Plus délicat à repérer est l\’angle, il y faut un point de vue droit dont les coordonnées selon une double ligne de fuite ouvrent certaines perspectives, et une perspective certaine.
Cependant l\’adéquation de la sphère vaut garanti de l\’adéquation du cube, en cela le lointain est proche.
Reste comme l\’on dit désormais en langue française à impacter.
Repérer ou alors réparé, ou peut être khépéré ( comme le scarabé en Egypte), ou peut être Kipour en hébreu. Comme carapace.
Je suis un goy optimiste, j\’ai toujours cru à la résurrection des mots, aujourd\’hui et demain aussi.
Bonne continuation.