RESUME DU COURS : Il est dit dans la Michna que « celui qui fait une mitsva, on lui fait du bien, on lui allonge sa vie et il hérite la terre ».
Que signifie « on lui fait du bien » ? Car, dans la réalité, on voit tout le contraire ! Rachi explique que ces deux récompenses s’obtiennent dans ce monde-ci : « on lui fait du bien » doit s’entendre dans ce monde sous sa forme actuelle, tandis que « il hérite la terre » parle de ce monde sous sa forme future, le « olam haba », le monde qui vient, après la Délivrance.
Mais reste une autre question : quelle est donc cette mitsva qu’il faut accomplir ?
mp4
bjr Rav
je vous écoute tous les jours mais là impossibl de télécharger ces nouveaux cours (et quelques autres) ni en vidéo ni en mp3…
Pourrez-vous les rediffuser selon un de cs modes?
merci d\’avance
Athlan
Avis a tous: POUR L\’INSTANT AUCUN TELECHARGEMENT N\’EST POSSIBLE, NOUS SOMMES EN RESTRUCTURATION DU SITE
La vidéo est en meilleure définition, et les proportions (largeur x hauteur) sont enfin correctes, bravo ! 🙂
Bonjour Rav !
Comme toujours, l\’etude est un veritable régale à votre coté !
Et Mazal Tov pour la nouvelle définition de l\’image !
il ne manque plus qu\’un nouveau beau site mieux agencé aux couleurs de jerusalem ! 🙂
Encore merci !
ça coupr et ça reprend sans arrets
cours bref et interressant mais a qquelle heure journalier hazak et merci pour la noueaute
Bonjour
Proposition. Je n\’ai pas les textes, il s\’agit donc simplement de ce que j\’entends à mon niveau en écoutant ici. Simplement donc une petite singularité.
Une mistva : n\’importe laquelle.
Une : en tant que telle, pour elle même.
J\’entends « à l\’envers » : les conséquences nous éclairent sur la cause.
Conséquence : « On lui fait du bien. ». « On lui allonge sa vie ». « Il hérite de la terre ». Donc : il y a eu une mitsva accomplie.
Autrement dit celui qui ressent qu\’un bien lui est fait, que sa vie est allongée et qu\’il hérite de la terre, peut en déduire qu\’il a accompli une mitsva une, qu\’il a unifié cette mitsva à lui même, incarné sa mitsav.
Il hérite de la « terre » : de quelque chose ferme, stable. Il se sent établi, équilibré. C\’est une terre de mesure juste. Il est inscrit en un lieu, « géographié » si je peux me permettre en « grec ».
Sa vie est allongée. Vie : il s\’agit de l\’élément vivant sans mélange.
On lui fait du bien. Il s\’agit d\’un éclairage particulier.
Des trois : modification des sensations, perceptions, de soi et du monde.
Extatique serait le cas ou les sensations nouvelles se substitueraient aux sensations communes précédentes mais l\’extase n\’est peut être pas compatible avec l\’action et donc les deux sensations, perceptions demeurent. Deux mondes simultanés, ce qui en constitue un troisième.
Monde qui vient. Je ne dirais pas comme vous qu\’il est déjà là.
A l\’inverse il « arrache » à une certaine lourdeur du présent (insomnie) qui ne cesse de se dissoudre en passant, en passé.
Il n\’est jamais déjà là, mais vraiment toujours venant.Un trou d\’air. Deux mondes celui dans lequel j\’avance, celui qui vient vers moi. Il s\’agit d\’un flux, comme un liquide, comme de l\’eau. Un flux transparent, et bien qu\’il soit perçu d\’un côté flux il est possible de le percevoir d\’un autre côté comme un élément stable, solide, une « vitre ». Ou si vous préférez une eau gelée, condensée, « métallique ».
Une part, du corps, lourde repose, une autre légère s\’envole, disons circule légèrement dans le monde et à travers les mondes. C\’est un corps oiseau.
Il s\’agit de ce que l\’on nomme en français un enrichissement, de « riche »qui vient de tête et de chant.
C\’est une mélodie, de lamed, d\’où Talmud.
Résumé mistva une, perçue rétrospectivement par ses effets et là se voit que les effets étaient la cause. A distance de cause et effet, entre deux notes se mesure, s\’ écoute et s\’entend du silence.
Peut être aurai je du commencer par me taire.
Kavod Rav, Chalom Rav.
Toda Raba Rav pour le cours court.