MP4 MP3 RESUME DU COURS : Le Psaume 18 est une longue shira de David : \ »chant de victoire du serviteur d´Hachem, de David, qui le chanta le jour où Hachem l´eut définitivement sauvé de la main de tous ses ennemis, et de la main de Shaül.\ »
Les commentaires font remarquer qu´il l´a chanté après toute une vie d´épreuves et de souffrances. Il fut d´abord rejeté par son père et ses frères, qui pensaient qu´il était un bâtard, jusqu´à ce qu´il soit réhabilité par Shmuël qui le désigna comme futur roi d´Israël. Ensuite, les menaces de Shaül constituèrent LA souffrance essentielle de sa vie, au point qu´il la met en évidence, à part de toutes les autres. David a toujours manifesté sa loyauté et son amour à son beau-père, mais Shaül n´a jamais accepté que David le dépasse. La Torah nous montre que la jalousie peut aveugler un homme, au point qu´elle lui fait voir ses amis comme ses pires ennemis ! Pourtant, disent nos Maîtres, Shaül était d´une grande pureté spirituelle et morale, mais il se comporta, vis-à-vis de David, comme un monstre. Le Radak commente que David eut dix grands ennemis juifs, pour cette seule même raison : la jalousie.
Les histoires bibliques sont des modèles fondamentaux pour l´humanité entière : l´attitude d´une grande partie d´Israël contre David est le microcosme de l´attitude des nations à l´encontre d´Israël. Le problème se résume à la jalousie, comme on le voit aussi dans la haine de ses frères contre Yossef. Or, David et Yossef sont les symboles des deux Mashia´h, ben Yossef et ben David. La Torah nous montre que la jalousie est la racine de tous les problèmes de l´humanité. On le voit, déjà, avec Cain et Avel. C´est pourquoi le premier des commandements, pour nous approcher d´Hachem, nous ordonne : \ »tu ne jalouseras pas\ ».
David et Yossef voulaient seulement le bien. Yossef voulait aider sa famille, puisqu´il avait vu, par ses rêves, que le shéfa passait par lui. Il voulait signifier à ses frères: je vous nourrirai, et c´est ce qu´il fit, par la suite ! De la même façon, les bonnes intentions de David ne reçurent, en échange, que la haine. Il passa sa vie à faire du bien à ceux qui devinrent, pourtant, ses pires ennemis. Les deux forces libératrices qui oeuvrent pour sauver le monde sont détestées par lui ! Et c´est aussi le modèle de la relation entre Hachem et Son monde : Il ne cesse de faire du bien et ne reçoit, en retour, que l´ingratitude et le mal, à cause de la jalousie que le na´hash a infiltrée dans le cœur de l´homme \ »Il vous a dit de ne pas manger de cet arbre, car celui qui en mangera deviendra comme un dieu !\ »
\ »Vé Hachem imo, et D. est avec lui\ », est dit seulement de Yossef et de David. David est un homme de Torah immense, et sera donc jalousé par les hommes très grands dans la Torah. Sa deuxième force est d´être un homme de pouvoir, qui agit et influence ; il sera donc jalousé par tous ceux qui ont un pouvoir. Il est aussi un homme de guerre ; dans ce domaine, il sera jalousé, à la fois par les non-Juifs qui, eux, ne s´intéressent qu´à l´aspect militaire de David, et par des hommes puissants dans ce domaine, comme Shimi ben Guera… Dans les trois domaines où il excelle (Torah, royauté et guerre), il aura donc des ennemis. Mais les plus farouches et dangereux seront dans le domaine de la Torah. Face à eux, David est déstabilisé car la jalousie est le miroir de l´égo, et ne devrait pas se trouver dans ce domaine ! Dans la plupart de ses psaumes, quand il parle de ses ennemis, il s´agit de Doëg, A´hitofel… grands dans la Torah. Dans ce domaine, on parle et on se bat au Nom de D., et c´est pourquoi c´est le plus dangereux ! Doëg soutenait que la conversion de la lignée de Ruth était nulle, ce qui tue à la fois le corps et l´âme car il faudrait l´exclure d´Israël ; quant à A´hitofel, il prétendait que Shlomo, né d´une union interdite avec une femme mariée, ne pouvait être roi, ce qui aurait détruit toute la lignée messianique !
David incarne la Mal´hout toraïque de la nation d´Israël, la Torah de ce monde, des baal téshuva, alors que ses ennemis incarnent la Torah de Moshé, de Tiféret ; la torah du ciel, des justes, qui n´a pas de prise sur la réalité.
\ »Moi aussi, j´avance dans le chemin d´Hachem, et je ne fais rien sur quoi Il pourrait dire que je suis un rasha. Tous les commandements sont devant mes yeux ; même les décrets au-dessus de l´intelligence, je les respecte. Heureusement qu´Hachem sait voir ma justesse ; la pureté de mes actions est constamment devant Ses yeux.\ »
Il révèle ensuite un principe d´action : \ »avec un homme pieux et bon, on doit se comporter d´une façon bonne et intègre, mais avec un homme effronté, on doit se comporter comme lui.\ » La Torah de la Mal´hout enseigne que, si l´on est bon avec le méchant, il va nous massacrer. \ »Qui va sauver les opprimés piétinés par les méchants ? Tous les orgueilleux qui humilient mon peuple, moi aussi, je les humilie.\ »
\ »Sauve-moi de tous ceux qui, dans le peuple, me font tellement de mal. Même les goim me comprennent mieux que mon propre peuple. Des gens que je ne connais même pas viennent me demander d´être mes serviteurs ; ils ont renié leur foi et rejoint la Torah, depuis qu´ils ont entendu parler de moi.\ » La Torah nous montre que les plus grands ennemis d´un homme sont toujours les plus proches de lui, comme on l´a vu avec Ishmaël, Esav, Amalek et Lavan… Car, seul peut être jaloux de nous celui qui est proche de nous et envie notre grandeur ou nos succès.
\ »Tu permettras que la grandeur de Ton roi se dévoile, et Tu feras du bien à Ton Messie, pour David et sa descendance, à tout jamais !\ » David a une vision messianique. Comme roi d´Israël et étincelle messianique, il sait que la mission d´Israël est pour l´humanité entière. C´est pourquoi David a tant souffert, car la vision plus conservatrice ne peut comprendre cette dimension. \ »Je continuerai à Te faire connaître au milieu des nations.\ » David est roi et son projet, au-delà d´Israël, s´étend à toute l´humanité.
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Spécial Hilloula de la Rabbanite \’Haya Mouchka de mémoire bénie.RÉSUMÉ DU DVAR MAL\’HOUT
DU RABBI.Le rôle de la femme juive dans la Guéoula.
Le 22 du mois (Kaf Beth) est relié avec la bénédiction, on en voit une allusion dans le nombre de lettres, 22 lettres de la Torah. « Be’ha Yevora’h Israël, en Toi sera béni Israël (1)». Ce qui signifie que c’est un jour où par lui, grâce à lui et avec lui sont bénis les enfants d’Israël dans tous les domaines.Le prince de la génération, prince, Nassi, d’un langage d’élévation, il soutient et élève toute la génération, car « Le prince est tout » (2). Et on peut le comprendre au sujet de sa fille, car toutes ses préoccupations et plus particulièrement son départ de ce monde, permettent à tous d’obtenir une élévation.
Et, lorsque l’on sait que son Yortseit (Hilloula) tombe le même mois que celui de son père, le Rabbi Rayats, le 10 Chevat, dont l’élévation et la royauté sont plus prononcés ce jour-là. Car il est connu (3) que montent « toutes ces actions, son enseignement et son travail qu’il a effectué tous les jours de sa vie » et tout se révèle ici-bas alors « qu’il exerce des prodiges sur terre (4) ».
Et l’on remarquera l’allusion se trouvant dans le nombre du mois de Chevat, le onzième mois et la date que l’on a désigné est le 22 qui vient en continuation et en rajout au dixième du mois, jour de la Hilloula du prince de notre génération.
Et de tout ceci doit ressortir un enseignement pour le travail de notre génération celle du prince de notre génération, et plus particulièrement, en ce qui concerne le travail des femmes et des jeunes filles d’Israël afin qu’elles s’attachent au Yortseït de la fille du prince de la génération. Et plus précisément à la veille du 22 Chevat, jours dans lesquels a lieu le rassemblement mondial des envoyées du Rabbi.
Mon beau père, le Rabbi, traversa trois époques. Il y eut tout d’abord le 10 chevat 5710, date à laquelle la mission qui lui fut confiée dans ce monde parvint à son terme. Par la suite, le 11 Chevat 5711, une période nouvelle commença, celle de la septième génération après l’Admour Hazaken et la neuvième depuis le Baal Chem Tov. Enfin, il y eut le décès de sa fille, le 22 Chevat 5748.
Ces trois périodes correspondent à trois étapes de l’édification de la Demeure céleste dans la matière, qui introduit le nombre onze dans le nombre dix.
La première étape consiste à mettre en évidence la perfection dans le monde afin d’y faire apparaître le nombre dix. Dès lors, la matière devint apte à recevoir la révélation du onze, à connaître la soumission et le dix peut être le réceptacle du onze, bien qu’une différence subsiste entre ces deux chiffres.
La deuxième période est celle du onze, qui acquiert sa propre élévation. La troisième, enfin, réalise la jonction entre les deux premières, de sorte que la Demeure de l’Essence divine soit effectivement bâtie ici-bas. Ainsi, elle peut faire corps avec Celui qui y demeure. Dès lors, l’Existence véritable apparaît à l’évidence dans la matière créée.
Les deux dernières périodes correspondent donc conjointement au nombre onze, la première le décrivant dans sa relation avec le dix, la seconde faisant allusion à l’Essence transcendant le nombre.
Le 22 est le onze multiplié par deux (11 jours depuis le 11ème jour du 11ème mois). Ce qui signifie que dans le mois se trouve par deux fois le nombre onze (de plus, tout cela se passe dans le 11ème mois). Tout ceci exprime la perfection se trouvant dans le onze (la symbiose entre le dix et le onze), car même au niveau des dévoilements, ainsi qu’au niveau du luminaire (qui influence, le jour) il y a le niveau du onze lorsqu’il élève le dix (ce monde ici-bas), ou que ce soit du niveau du onze en soi, du côté de l’essence de celui qui influence, le onze dans toute sa pureté du côté de l’Essence qu’Il soit béni, et de plus, l’unification des deux niveaux.
C’est-à-dire que la plénitude du dix et du onze (lors du 11ème mois), intervient à la suite de la plénitude du travail des enfants d’Israël ici-bas qui consiste à attirer le niveau du onze dans les dix Commandements qui ont été donnés d’En-haut lors du don de la Torah, se rajoute à nouveau « onze jours à partir du ‘Horev (le Mont Sinaï – Ndt) » le dévoilement de « Be’ha » en correspondance avec les (Kaf Beth) 22 lettres de la Torah (5).
Et grâce aux 22 lettres de la Torah, le Juif peut s’unir avec le « Be’ha », l’Essence Infinie béni soit-Elle (6). Et tout ceci imprègne tous les détails de sa vie (dans le niveau du dix, toutes les dix forces de son âme) d’une manière ou « En toi, Be’ha, Israël sera béni », Israël (tout Juif, tous les enfants d’Israël) seront bénis de toutes les bénédictions à partir du « Be’ha », de Ton Essence.
Tout ceci se retrouve dans le nom de celle dont nous évoquons la mémoire, « ‘Haya Mouchka » : « ‘Haya » (du mot ‘Haïm, vie) fait allusion à l’ensemble de la vie de l’âme (la parcelle d’En-Haut, véritablement), qui descend de l’Origine de toute vie en Son Essence, qu’Il soit béni.
« ‘Haya » porte sur la vitalité qui fait vivre le corps par son habillement intérieur, et « Mouchka » qui exprime un parfum (7) et selon certaines opinions (8) il fait partie des onze composantes de l’encens et fait allusion à l’âme enveloppante, car il est connu que l’odeur enveloppe, et l’odeur réanime l’âme (9), car l’odeur a le pouvoir d’apporter une nouvelle vitalité au corps. De plus, l’âme profite d’une bonne odeur (10).
Et généralement, alors que l’âme possède cinq noms : Nefech, Roua’h, Nechama, ‘Haya et Yé’hida (11). « ‘Haya » fait allusion à ‘Haya et Yé’hida qui sont les forces enveloppantes de l’âme et plus particulièrement, « ‘Haya » désigne le niveau de ‘Haya de l’âme (la force enveloppante proche de l’intérieur) et « Mouchka » fait référence à la Yé’hida (l’enveloppe qui englobe, l’âme de l’âme) qui désigne l’essence de l’âme qui est au-dessus des cinq noms qui lui ont été attribués (12). Et c’est à ce niveau-là que l’odeur apporte une nouvelle force et du plaisir dans l’âme de l’homme (13).
Et lorsque les deux mots « ‘Haya Mouchka » sont portés ensemble par une seule et même personne, cela prouve que ces deux sujets sont reliés et unis, le dévoilement de la partie qui enveloppe et l’essence de l’âme descendent et se revêtent d’une manière intérieure dans le corps et dans les dix forces internes.
Tout ceci nous aide à comprendre la puissance que l’on reçoit pour agir, après l’apport du 22 Chevat car le monde du niveau du dix soit prêt et apte à percevoir le dévoilement du onze qui est au-dessus du monde ; la demeure pour Lui, qu’Il soit béni dans le monde ici-bas au maximum de la perfection, lors de la délivrance véritable et complète. Par le fait que l’essence de l’âme des enfants d’Israël se trouve complètement dévoilée par les dix forces de son âme interne, cela donne la force d’agir dans le monde ainsi que sur tout l’enchaînement des mondes, cela permet de dévoiler le niveau du onze pour que le monde entier devienne par son propre fait une demeure pour Lui, qu’Il soit béni, pour Lui, pour Son Essence (14).
Quel est donc le rapport entre la nouveauté du 22 Chevat et l’élévation de l’âme de la fille de notre maître le Rabbi Rayats, prince de notre génération ?
De la même façon que lors de l’exil d’Egypte, nos Sages ont expliqué : « Par le mérite des femmes justes de cette génération, les enfants d’Israël sont sortis d’Egypte (15). Ainsi, il en est de même en ce qui concerne la délivrance future, ce sera par le salaire et par le mérite des femmes justes de cette génération… Et le Ari Zal explique (16) que la dernière génération de l’exil est la réincarnation de la génération qui est sortie d’Egypte.
Et c’est l’une des raisons pour lesquelles le Rabbi Rayats s’est tellement occupé de l’éducation et de la formation des femmes et jeunes filles d’Israël, en tout ce qui concerne le judaïsme, la Torah et ses Mitsvot, comprenant l’étude de l’enseignement de la ‘Hassidout et la diffusion des sources. Car tout en étant la dernière génération de l’exil, elle est néanmoins la première génération de la Guéoula, la délivrance. Et c’est pour cette raison que le travail des femmes et jeunes filles d’Israël est si important car c’est par leur mérite que la Guéoula arrivera.
Tout ceci concerne particulièrement la fille du Rabbi Rayats, le Prince de notre génération lui-même, car elle a été éduquée par le Prince de notre génération lui-même… Et ainsi, après l’élévation de son âme, son influence se perdure, et nous pouvons constater que bon nombre de filles d’Israël ont été appelées de son nom et par leur comportement elles sont un exemple vivant, comme des âmes vivantes dans des corps vivants (17), car elles ont été éduquées selon son esprit et ses directives et selon son modèle en tant que fille du Prince de notre génération.Que signifie le concept « une demeure ici-bas » ?
La perfection d’un appartement est atteinte lorsqu’il est agréable à vivre, contient du mobilier esthétique jusqu’au niveau où : « Trois choses élargissent l’esprit de l’homme et ce sont : Une belle demeure, une belle femme et de beaux ustensiles (18) »
Et le travail qui consiste à construire une demeure ici-bas doit être accompli de manière à réaliser une « belle demeure ». Et ce n’est pas seulement là, la perfection appartenant au monde ici-bas, mais aussi pour plaire au propriétaire de la demeure, une belle demeure élargit l’esprit de Adam HaElyone, l’Homme d’En-Haut, si l’on peut s’exprimer ainsi.
Et grâce au travail de l’homme ici-bas, consistant à purifier le monde d’en bas, on en arrive à ce que les créatures terrestre (du niveau du dix), de leur côté à elles soient elles-même une demeure pour Lui, qu’Il soit béni, non seulement pour les niveaux de divinité en corrélation avec le monde, mais aussi pour la divinité telle qu’Elle transcende complètement le monde jusqu’à l’Essence et l’Existence, en plus de la « demeure pour Lui, qu’Il soit béni », que l’on soit totalement unis avec Lui, qu’Il soit béni (l’existant créé lui-même avec l’Existant véritable).
Jusqu’à la perfection de la « lumière du Machia’h (19)» et « l’esprit du Roi Machia’h (20) » (or nous devons souligner que le mot Machia’h comporte les initiales de ‘Haya Mouchka avec le Youd qui fait référence au père de celle-ci dont les initiales du nom sont deux Youd…) lors de la Guéoula véritable et complète qui intervient par le mérite des femmes justes d’Israël.
On peut voir concrètement que dans un appartement de la manière la plus simple, la décoration, la beauté de l’appartement et les accessoires qu’ils soient matériels ou spirituels dépendent de la femme « la maîtresse de maison (21) ». La beauté et l’art de rendre les choses belles dépend plus particulièrement de la femme, « une belle femme (celle qui rend les choses belles) »… Jusqu’au niveau où « La femme n’a été créée que pour la beauté (22) », beauté spirituelle par laquelle découle la beauté matérielle (23).
Il est important de préciser que toute maison juive tient sur trois Mitsvot : L’allumage des bougies de Chabbat et des jours de fête, une alimentation Cachère et la pureté familiale (Initiales du mot ‘Hen, le charme, la beauté, l’esthétique)… ainsi que l’éducation des enfants qui dépend de la mère (24).
Comme on peut constater par exemple cette bonne coutume qu’ont les mères juives de chanter à leurs enfants qui sont encore dans le berceau, que la Torah est la plus merveilleuse des choses, la plus douce, la plus belle… et l’influence qui est accordée à l’enfant se prolonge bien plus tard, lorsqu’il grandit en un amour intérieur, il chérit alors, tout ce qui concerne la Torah et les Mitsvot.
Et il y a un enseignement particulier pour les femmes et jeunes filles d’Israël, en générale et plus particulièrement pour les Chlou’hot, les femmes-émissaires, qu’elles aient une longue vie, envoyées par le Rabbi, Prince de notre génération qui se sont réunies de tous les coins du monde pour le « Rassemblement mondial des femmes-émissaires » : de faire de leur propre maison, une demeure pour la divinité « Et ils me feront un sanctuaire, et Je résiderai parmi eux (25) », en chacun et chacune du Peuple Juif (26). A commencer d’elles-mêmes, de leurs maison, pour en faire un sanctuaire pour D.ieu, une maison de Torah, de prières et de bonnes actions, par leur comportement personnel et éduquer les enfants dans ce sens, faire d’eux-mêmes de beaux sanctuaires pour D.ieu.
De plus nous devons imprégner la maison et toutes les chambres de la maison d’un esprit de Torah, de prière et de bonnes actions. Ainsi, il nous faut vérifier que chaque enfant possède personnellement : Un Houmach (Pentateuque) et autres livres de Torah, un Sidour (livre de prière), une boîte de Tseddaka et de plus, un petit livre de Tanya personnel.
Et actuellement, lors des dernières minutes qui précédent la Guéoula, il faut éveiller en chaque femme et jeune fille Juive, l’importance du mérite des femmes et jeunes filles d’Israël qui amènent la délivrance véritable et complète de manière immédiate et instantanée qui intervient par le mérite des femmes justes de la génération.
« Et tous ceux qui résident dans la poussière se réveilleront et se réjouiront (27) » et parmi eux, le Rabbi Rayats et sa fille avec tous les justes et les femmes justes et toutes les âmes, avec tous les enfants d’Israël qui sont des âmes dans des corps pour de longues et bonnes années, une âme saine dans un corps sain, nous passons sans aucune interruption, à la vie éternelle lors de la délivrance véritable et complète par l’intermédiaire du Machia’h, notre juste, de manière immédiate Mamach, et en priorité, de manière instantanée Mamach, et tout simplement Mamach.
razak merci
chalom rav, malgré le grand amour d hachem pour le roi david, il lui refusa qd meme la construction du beth amikdach, cordial chalom.
Tient-tient, ça me rappel mes commentaires censurés sur les \ »Bne\’i Noha\ », nous nous sommes toujours confrontés avec les chrétiens parce que ce ne sont que des faussaires, des voleurs de HM !
Enfin c\’est ce qu\’ils croient, car plus ils faussent plus ils paraissent ridicules !!
Shavouah tov
INTERESSANT. MAIS JE VOUDRAIS ATTIRER VOTRE ATTENTION SUR UN POINT.
Vous dites,avec beaucoup d\’humour que certains chrétiens récupèrent vos cours pour renforcer leur position sur Jésus.C\’EST VRAI, ET A MON AVIS LE MOTIF EST LE SUIVANT: UN VRAI DIALOGUE N\’A PAS ENCORE ETE REELLEMENT ENTAME entre eux et vous( évidemment je ne parle pas du dialogue officiel entre l\’Eglise et le Judaisme.). ALORS, CES CHRETIENS VOUS ECOUTENT AVEC ENTHOUSIASME, parce qu\’en quelque sorte ils récupèrent la \ »face cachée\ » du peuple d\’où venait Jésus,avec des enseignements \ »nouveaux\ » sur ce qui est appelé \ »Ancien Testament\ »(mais qui n\’est pas du tout Ancien). CEPENDANT,CES CHRETIENS N\’ONT PAS ABANDONNE LES VERITES FONDAMENTALES DE LEUR FOI, exemple: LA RESURRECTION, L\’ASCENSION DE JESUS, SA DIVINITE,SA SECONDE VENUE, ETC… parce qu\’ils ne trouvent pas encore dans vos propos des raisons pour abandonner leur foi. IL EST VRAI QUE VOTRE INTENTION N\’EST PAS DE FAIRE DES POLEMIQUES, MAIS JE PENSE QU\’IL SERAIT INTERESSANT DE SENTIR UNE \ »LECTURE JUIVE\ » DE CES VERITES FONDAMENTALES CHRETIENNES; EN D\’AUTRES TERMES, COMMENT UN JUIF INTERPRETE CES VERITES DE FOI CHRETIENNE? Ce n\’est qu\’à partir de là que la lumière commencera à se faire jour. ESSAYEZ AUSSI DE LES COMPRENDRE, CHER RAV. iLS ONT GRANDI DANS CES CROYANCES, et meme si de temps en temps eux-memes s\’interrogent sur l\’une ou l\’autre,IL NE SUFFIT PAS DE LEUR DIRE QUE C\’EST FAUX POUR QU\’ILS S\’EN DISSUADENT.Il faudrait de bonnes raisons, et peut-etre celles que vous évoquez de temps en temps durant vos cours, ne suffisent pas à les convaincre. UNE FOIS DE PLUS, JE NE VOUS DEMANDE PAS DE FAIRE DES POLEMIQUES DANS VOS VIDEOS, MAIS, PEUT-ETRE TROUVEREZ-VOUS UN MODE POUR UN TEL DIALOGUE.
merci
Effectivement il n\’y a pas l\’équivalent chrétien de votre site. Il m\’a été enseigné : \ »Jésus est la Clef des Ecritures\ ». La vérité est : \ »Les Maîtres d\’Israël ont la Clef des Ecritures\ ». Vos cours, Rav, en sont la preuve resplendissante. Barouq H\’.
שָׁלוֹם רָב