Cours extrêmement intéressant, et fondamental concernant l’intérêt et le rôle de la musique dans l’univers du bon Dieu.
Beaucoup de choses dites sont très vraies.
J’en profite pour un petit coucou à John, Lennon, qui a révolutionné la musique, et qui finit (évidemment) après avoir chanté « Power to the people » et « Revolution ».
Petit coucou aussi à Charles Aznavour, magnifique chateur et compositeur qui composa autant pour d’autre « ce soir je serai la plus belle pour aller danser » ou « Retiens la nuit » que pour lui.
Mais tout n’est pas casher. Prenons le cas de Serge Gainsbourg, ou de Pierre Perret qui, bizarrement ont commencé leurs carrière avec des chansons « cochonnes ». Gainsbourg chantait, si on comprends bien le sens de ses paroles « j’me fais des trous, des petits trous, encore des petits trous », et Pierre Perret (le zizi) était parfois très vulgaire dans ses paroles. Derrière le voile des deux hommes, on sentait des choses « pas claires ». Sous son espect bon enfant, Pierre Perret demandait d’ouvrir la cage aux oiseaux pour faire chier la grand-mère. Sous son aspect humaniste (elle faisait les poubelles à Paris, LIli) se dissimule la chanson suivante « Mélangez vous, Mélangez-vous, supprimez les peuples et les nations). Idem pour Gainsbourg (qui glorifie le métissage avec « couleur café; que j’aime ta couleur café ». On aura la même chose avec la copine de Gainsbourg, France Gall qui chantera « Babacar » et d’autres, et qui finira sa vue avec un chanteur noir. Idem pour la chanson qui gagnera l’Eurovision, « Africa, j’ai envie de (danser comme) toi, toi sur ma peau blanche de femme ». Sous des aspects humanistes et anti-racistes, la chanson devient alors une arme pour le métissage et la désintégration massive des peuples, des religions, des cultures.
Le pire, c’est que si l’on essaye de dévoiler ce qui se cache derrière une chanson, on est traité de raciste, de révisionniste, de réactionnaire.
A notre aussi cette très belle incitation au cambriolage de Jacques Dutronc qui glorifie les voleurs (C’est le plus grand des voleurs, oui mais c’est un gentleman).
Je ne parle même pas du rap, dont j’ai d’ailleurs décrit la psychologie et la haine, dans l’un de mes livres.
Nous vivons dans des temps de grandes laideurs musicales (du jamais vu, je pense dans l’histoire de l’humanité).
Mais il y a un but à cela, casser la beauté, l’élévation, la paix, la joie, le recueillement. Ne plus montrer que la laideur intellectuelle du monde.
Cours extrêmement intéressant, et fondamental concernant l’intérêt et le rôle de la musique dans l’univers du bon Dieu.
Beaucoup de choses dites sont très vraies.
J’en profite pour un petit coucou à John, Lennon, qui a révolutionné la musique, et qui finit (évidemment) après avoir chanté « Power to the people » et « Revolution ».
Petit coucou aussi à Charles Aznavour, magnifique chateur et compositeur qui composa autant pour d’autre « ce soir je serai la plus belle pour aller danser » ou « Retiens la nuit » que pour lui.
Mais tout n’est pas casher. Prenons le cas de Serge Gainsbourg, ou de Pierre Perret qui, bizarrement ont commencé leurs carrière avec des chansons « cochonnes ». Gainsbourg chantait, si on comprends bien le sens de ses paroles « j’me fais des trous, des petits trous, encore des petits trous », et Pierre Perret (le zizi) était parfois très vulgaire dans ses paroles. Derrière le voile des deux hommes, on sentait des choses « pas claires ». Sous son espect bon enfant, Pierre Perret demandait d’ouvrir la cage aux oiseaux pour faire chier la grand-mère. Sous son aspect humaniste (elle faisait les poubelles à Paris, LIli) se dissimule la chanson suivante « Mélangez vous, Mélangez-vous, supprimez les peuples et les nations). Idem pour Gainsbourg (qui glorifie le métissage avec « couleur café; que j’aime ta couleur café ». On aura la même chose avec la copine de Gainsbourg, France Gall qui chantera « Babacar » et d’autres, et qui finira sa vue avec un chanteur noir. Idem pour la chanson qui gagnera l’Eurovision, « Africa, j’ai envie de (danser comme) toi, toi sur ma peau blanche de femme ». Sous des aspects humanistes et anti-racistes, la chanson devient alors une arme pour le métissage et la désintégration massive des peuples, des religions, des cultures.
Le pire, c’est que si l’on essaye de dévoiler ce qui se cache derrière une chanson, on est traité de raciste, de révisionniste, de réactionnaire.
A notre aussi cette très belle incitation au cambriolage de Jacques Dutronc qui glorifie les voleurs (C’est le plus grand des voleurs, oui mais c’est un gentleman).
Je ne parle même pas du rap, dont j’ai d’ailleurs décrit la psychologie et la haine, dans l’un de mes livres.
Nous vivons dans des temps de grandes laideurs musicales (du jamais vu, je pense dans l’histoire de l’humanité).
Mais il y a un but à cela, casser la beauté, l’élévation, la paix, la joie, le recueillement. Ne plus montrer que la laideur intellectuelle du monde.