Rav, mehila pour le commentaire un peu long mais j’ai trouvé cette histoire tout à fait appropriée à votre cours, j’ai donc voulu partager. Je tiens à vous remercier vivement, ça fait environ 10 ans que je vis vos cours et mets en application ce que je comprends à mon niveau, Merci, qu’Hachem vous protège et apporte la guéoula. Deux foetus dans un placenta
Un jour, au coeur d’un placenta, un foetus demande à l’autre :
« Est-ce que tu crois en la vie après l’accouchement, toi ?
– Hein ? Evidemment ! s’exclame son collègue. Il y a bien quelque chose après l’accouchement ! Peut-être que nous sommes là pour nous préparer à ce qui nous attend plus tard…
– Ridicule ! rétorque le premier. Il n’y a pas de vie après l’accouchement ! A quoi ça pourrait bien ressembler ?
– Je ne sais pas… avoue le second, mais il fera plus jour là-bas qu’ici ! Peut-être que nous marcherons avec nos jambes, et mangerons avec nos bouches…
– Peut-être aussi que nous aurons d’autres sens, que nous ne sommes pas encore à même de comprendre… »
Le premier foetus s’esclaffe :
« C’est tout simplement absurde ! Marcher, c’est impossible. Et manger avec une bouche ? C’est de la pure folie ! Le cordon ombilical nous fournit les nutriments et tout ce dont nous avons besoin pour vivre. Mais ce cordon est court. Donc, logiquement, la vie après l’accouchement, ça ne passe pas !
– Oh, mais je pense vraiment qu’il y a quelque chose, insiste le second. Peut-être que c’est différent de ce qu’on connaît ici. Peut-être que nous n’aurons plus besoin de ce cordon physique.
– Quoi ? Mais c’est du grand n’importe quoi, là ! Et d’ailleurs, s’il y a vraiment une vie après l’accouchement, pourquoi personne n’est-il jamais revenu de là-bas ? L’accouchement, c’est la fin de la vie, et après la naissance, il n’y a qu’obscurité, silence et oubli. Ca ne nous amènera à rien. »
Le second foetus n’est pas du tout convaincu.
« Eh bien, réplique-t-il, je ne sais pas… Nous rencontrerons sûrement Maman, et elle s’occupera de nous…
– Maman ? Tu crois en Maman, toi ? ricane le premier foetus. Alors celle-là, c’est la meilleure ! Mais dis-moi – si Maman existe, où est-elle maintenant ?
– Elle est tout autour de nous. Nous sommes entourés par Maman de toutes parts. Nous faisons partie d’elle. C’est en elle que nous vivons. Sans elle, le monde n’existerait pas ; il ne pourrait exister.
– Moi, rétorque le premier, je ne la vois pas. Donc, logiquement parlant, elle n’existe pas.
– Tu sais, soupire le second. Parfois, quand on se tait et s’efface, quand on se concentre et écoute… on peut percevoir sa présence. et entendre sa voix aimante, qui nous parle de là-haut. »
Voilà peut-être l’une des plus belles représentations du concept de Dieu…
Dans ce cours, on voit toujours une union entre matérielle et spirituelle. Mais je me pose cette question : Pourquoi personne n’applique la partie matérielle de la torah, en effet tout au long du tanakh on peut lire comment organiser son domaine agricole, par exemple comment labourer etc. De nos jours, On ne voit que l’application spirituelle de la torah, mettre des mezouzot, des tefilines. Si l’on en croit la torah, Ytsrak récoltait 100 grains de blé pour un grain de blé semé, c’est totalement incroyable ! Les meilleurs exploitations agricoles, avec la hightech font 40 grains de rendement pour un grain semé. Ytzrak, et ses ouvriers et leurs charrues font beaucoup mieux que tous ces milliards d’euros de recherche agronomique et technologique. Pourquoi ne pas appliquer le modèle économique très précis de la torah qui en plus fonctionnait mieux.
Merci Rav, et à Tous ceux qui ont accepté de partagé ce Cours. De la part d’un BNE Adam.
Rav, mehila pour le commentaire un peu long mais j’ai trouvé cette histoire tout à fait appropriée à votre cours, j’ai donc voulu partager. Je tiens à vous remercier vivement, ça fait environ 10 ans que je vis vos cours et mets en application ce que je comprends à mon niveau, Merci, qu’Hachem vous protège et apporte la guéoula. Deux foetus dans un placenta
Un jour, au coeur d’un placenta, un foetus demande à l’autre :
« Est-ce que tu crois en la vie après l’accouchement, toi ?
– Hein ? Evidemment ! s’exclame son collègue. Il y a bien quelque chose après l’accouchement ! Peut-être que nous sommes là pour nous préparer à ce qui nous attend plus tard…
– Ridicule ! rétorque le premier. Il n’y a pas de vie après l’accouchement ! A quoi ça pourrait bien ressembler ?
– Je ne sais pas… avoue le second, mais il fera plus jour là-bas qu’ici ! Peut-être que nous marcherons avec nos jambes, et mangerons avec nos bouches…
– Peut-être aussi que nous aurons d’autres sens, que nous ne sommes pas encore à même de comprendre… »
Le premier foetus s’esclaffe :
« C’est tout simplement absurde ! Marcher, c’est impossible. Et manger avec une bouche ? C’est de la pure folie ! Le cordon ombilical nous fournit les nutriments et tout ce dont nous avons besoin pour vivre. Mais ce cordon est court. Donc, logiquement, la vie après l’accouchement, ça ne passe pas !
– Oh, mais je pense vraiment qu’il y a quelque chose, insiste le second. Peut-être que c’est différent de ce qu’on connaît ici. Peut-être que nous n’aurons plus besoin de ce cordon physique.
– Quoi ? Mais c’est du grand n’importe quoi, là ! Et d’ailleurs, s’il y a vraiment une vie après l’accouchement, pourquoi personne n’est-il jamais revenu de là-bas ? L’accouchement, c’est la fin de la vie, et après la naissance, il n’y a qu’obscurité, silence et oubli. Ca ne nous amènera à rien. »
Le second foetus n’est pas du tout convaincu.
« Eh bien, réplique-t-il, je ne sais pas… Nous rencontrerons sûrement Maman, et elle s’occupera de nous…
– Maman ? Tu crois en Maman, toi ? ricane le premier foetus. Alors celle-là, c’est la meilleure ! Mais dis-moi – si Maman existe, où est-elle maintenant ?
– Elle est tout autour de nous. Nous sommes entourés par Maman de toutes parts. Nous faisons partie d’elle. C’est en elle que nous vivons. Sans elle, le monde n’existerait pas ; il ne pourrait exister.
– Moi, rétorque le premier, je ne la vois pas. Donc, logiquement parlant, elle n’existe pas.
– Tu sais, soupire le second. Parfois, quand on se tait et s’efface, quand on se concentre et écoute… on peut percevoir sa présence. et entendre sa voix aimante, qui nous parle de là-haut. »
Voilà peut-être l’une des plus belles représentations du concept de Dieu…
Dans ce cours, on voit toujours une union entre matérielle et spirituelle. Mais je me pose cette question : Pourquoi personne n’applique la partie matérielle de la torah, en effet tout au long du tanakh on peut lire comment organiser son domaine agricole, par exemple comment labourer etc. De nos jours, On ne voit que l’application spirituelle de la torah, mettre des mezouzot, des tefilines. Si l’on en croit la torah, Ytsrak récoltait 100 grains de blé pour un grain de blé semé, c’est totalement incroyable ! Les meilleurs exploitations agricoles, avec la hightech font 40 grains de rendement pour un grain semé. Ytzrak, et ses ouvriers et leurs charrues font beaucoup mieux que tous ces milliards d’euros de recherche agronomique et technologique. Pourquoi ne pas appliquer le modèle économique très précis de la torah qui en plus fonctionnait mieux.