Je suis l\’elu mais pas le meilleur – guilgoulim- 4 Sept 2016

  1. Chodesh Tov ve Shavouah tov! Rav, bon retour parmi nous.

  2. ב\ »ה לע\ »נ ר\’ שמעון נתן נאטע נעטא בן משה מרדכי מללוב זצוק\ »ל עלה בסערה השמימה ליל\’ יה\ »כ תשע\ »ו טוב שם טוב משמן ט\’

  3. Bonjour et bonne rentrée cher rav
    PSYCHANALYSE DU Bur-Q-inique …. !
    WOOLFY AVERY·SAMEDI 3 SEPTEMBRE 2016
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    L\’exhibition de la foi par un \ »fétiche\ » qui a exactement la même signification ou vocation que ce dernier dans son rapport à la sexualité doit nous faire comprendre l\’exaspération des français devant l\’aliénation pornographique que cette idolâtrie de Dieu vient afficher comme représentation émanant de \ »fous\ » de Dieu instrumentalisés par leur propre foi.
    On ne s\’étonne plus dès lors à ce que celle ci s\’exprime en forme de suicide altruiste que l\’on appelle le martyre !
    Cette religion est aux antipodes de l\’apport symbolique du monothéisme dans la civilisation.
    La revendication par la voie de l\’idéologie égalitaire devient l\’instrumentalisation des raisons de l\’aliénation encouragée du corps de la femme et de libertés de celle ci dans l\’espace laïc public.
    Dans la chrétienté, ces fous de l\’extase mystique sont en principe réglementés en Ordres clos dans des couvents ou monastères. Ils ne donnent pas lieu à exhibition outrancière (sauf processions festives religieuses) dans l\’espace public non réglementé !
    Et dans le judaïsme, ce type de comportement est totalement prohibé et effectivement appréhendé comme une idolâtrie ! Lorsqu\’elles existent ces \ »démarcations\ » vis à vis des juifs laïcs sont l\’équivalent de l\’expression d\’appartenance à des courants comme signes de reconnaissance d\’appartenance entre eux à la manière \ »d\’ordres\ » auto-réglementés, non nécessairement prescrits par la halakha (loi juive) sauf en Galout (exil) quand ces distinctions n\’étaient pas historiquement imposées par la chrétienté ou l\’islam aux communautés juives.
    Le caractère \ »pervers\ » de ces distinctions affichées envers l\’espace laïc comme donnant droit à des privilèges dans la société israélienne est fortement contestée par celle ci (comme ne pas faire le service national ou recevoir des indemnités de la part de l\’Etat).
    Alors que l\’Etat juif laïc accepte l\’expression vestimentaire communautariste des autres religions notamment entre elles, que les français réprouvent en France, les israélien ne le tolèrent pas pour leur propre religion comme pouvant porter atteinte au projet humain.
    Cela n\’a donc rien à voir avec les idées reçue communes au sujet du judaïsme que la majorité des français véhiculent sans le savoir !

  4. La valeur numérique du mot «à l\’intérieur» en grec donne 555 en soustrayant les valeurs des guématries \ »N\ » et \ »n\ ». Avec la guématrie en \ »N\ », on obtient donne 625. Avec la guématrie en \ »n\ », on obtient 70. N-n = 625 – 70 = 555. Il en est de même avec les mots «j\’ai trouvé» et «de la loi».
    La valeur numérique de la phrase «une femme libre» en grecque donne 555 en utilisant la guématrie en \ »N\ ». Il en est de même avec le mot «force» 555 = 4+400+50+1+40+10+50 et «il s\’abandonne» 5+20+300+5+10+200+5+10 = 555.

  5. Réponse à Marc Pellas. Mais finalement vous ne vous arrêtez jamais, vous? https://www.youtube.com/watch?v=Je6s0PSh4dM
    Une belle tête de vainqueur. :))) Vous êtes pas juif, au moins? A cause de vous, on va encore me taxer d\’antisémitisme. Mais c\’est pas vrai, merde!

  6. Quel titre ( Cyrano … ) on ne peut plus adapte! c` est ce qui s` appelle un retour en beaute baruh ASHEM , Abel pas si bel qu` au \ » cathechisme \ » heureusement grace au Ciel que vous etes la pour remettre les pendules a l` heure baruh ASHEM . Non pas que vous nous suggerer de se ruer a lance tomates sur Abel , mais comme regle antique de vos enseignements si salubres celle d` elargir notre sens \ » critique \ » contre une letargie , statisme sterile , de \ » bel \ » au bois dormant et eveiller en nous cette recherche et mise en pratique harmonieuses de construction et renouvellement constant \ » d` un plus bel interieur \ » merci maitre , y` en a un qui chantait : \ » ya dla joie , bonjour bonjour les hirondelles etc \ » avec vous c` est : \ » ya d`laction , yaacov Yacoov c` est Israel la la la la la la la la , ya d`laction tous en Coeur Shema Israel , ya dla joie chez nous on ne dort pas \ » \ » ASHEM benisse votre reprise de kol kol tov .merci ASHEM , merci maitre .

  7. Bonjour, Yeshayahou 27,12 : \ »depuis le cours du fleuve\ » מִשִּׁבֹּלֶת הַנָּהָר , voir Béréshit 15,18.

  8. La guematria des 15 premières lettres du passage Yeshayahou 27,12 donne 121, et la guematria de gilgoulim (גלגולים) égale 122. La lettre en plus est un tèt. Je ne sais pas ce que celà veut dire; c\’est juste une observation et un lien avec le cours…

  9. aimée khayat tres sincerement toute cette geographie n a strictement aucune importance…..perte de temps pour ce qui ne savent plus quoi faire de leur temps…..

  10. Bonjour Rav, pouvez vous m\’éclairer et rétablir notre Verité malmenée par de nombreux jalous. merci / Des français non juifs m ont assuré que le mont sinai est en Egypte et m ont montré ce que dit wikipedia et que tout le monde croit :
    : Le mont Sinaï (arabe : جبل موسى) ou Djebel Moussa (« montagne de Moïse ») est une montagne d’Égypte située dans le Sinaï et culminant à 2 285 mètres d\’altitude. Le mont est surtout célèbre dans la tradition biblique pour avoir été le lieu où Moïse rencontra Dieu pour la première fois au buisson ardent (Ex 3,1-4,17) et où il reçut les Dix Commandements (ou Dix Paroles, en Ex 20,1-17) et de nombreuses autres lois pour le peuple hébreu (Exode 19,1-31,18). ??? Plusieurs autres localisations ??? de cet épisode ont été proposées (Voir Har Karkom et Sinaï (Bible)) et son emplacement réel n\’est toujours pas connu ??? avec certitude. « Il n\’existait aucune tradition juive sur l\’emplacement du Sinaï. ?
    Pas plus que sur l\’itinéraire emprunté par les Hébreux à leur sortie d\’Égypte.? Voici donc le cas de figure où ce sont les seuls chrétiens ? qui ont identifié – et balisé – un ensemble de sites propres à l\’Ancien Testament. FALSIFICATIONS !
    De façon empirique, déductive, en s\’appuyant sur la Septante, les «enquêteurs» ont fixé une route qui, certes, ne tenait guère compte des contradictions toponymiques entre le livre de l\’Exode et le livre des Nombres. Mais qui, au fond, n\’était pas moins vraisemblable qu\’une autre.
    En vérité, débats et divergences ont agité les concernés dès la naissance de cette tradition. Certains placeront la Sainte Montagne dans le djebel Serbal. Ou vers le djebel Chomer. Voire sur le volcan éteint de Hala el-Badr. À travers les siècles,
    / au moins 25 «monts Moïse» seront ainsi revendiqués.? /
    Les dernières plaidoiries remontent à la fin des années 1990. Un archéologue anglais, Lawrence Kyle, militera bruyamment pour la montagne Blanche et l\’Arabie saoudite. En écho, un historien italien, Emmanuel Anati, lui renverra le mont Safron et le Néguev, en Israël.
    Dans leur immense sagesse, les exégètes lucides admettent que toutes ces discussions n\’ont aucun sens.
    Et qu\’il n\’est qu\’un lieu saint, que l\’on nomme Sinaï, Horeb ou Moïse: c\’est ce mont sacralisé par la tradition monastique. » ???
    10 Source : La Sainte Cime [archive], par Yves Stavridès ?

    le Sinaï dans la Bible
    Dans le Pentateuque, Sinaï désigne à la fois le désert où pérégrinent les Hébreux et la montagne, appelée aussi Mont Horeb, où Moïse reçoit les Tables de la Loi.
    Références bibliques
    Les deux sens apparaissent en Ex 19,1 : Exode, 19, 1 : \ »Le troisième mois après leur sortie du pays d\’Égypte, les enfants d\’Israël arrivèrent ce jour-là au désert (מִדְבַּר, Midbar) de Sinaï. / Exode, 19, 11 – Qu\’ils soient prêts pour le troisième jour; car le troisième jour l\’Eternel descendra, aux yeux de tout le peuple, sur la montagne de Sinaï (עַל־הַר סִינָי, \’Al-Har Sinaï).
    L\’endroit est cité ensuite : Dans le livre des Rois, au temps du Roi Achab, comme il est raconté dans le voyage d\’Élie :
    Rois 19:8 Il se leva, mangea et but ; et avec la force que lui donna cette nourriture, il marcha quarante jours et quarante nuits jusqu\’à la montagne de Dieu, à Horeb.
    ? Dans l\’Épître aux Galates : ? 4:24 Ces choses sont allégoriques ; car ces femmes sont deux alliances. L\’une du mont Sinaï, enfantant pour la servitude, c\’est Agar, / 4:25 car Agar, c\’est le mont Sinaï en Arabie, -et elle correspond à la Jérusalem actuelle, qui est dans la servitude avec ses enfants. / Voici comment Flavius Josèphe en parle dans les Antiquités judaïques Moïse, ayant reçu ces bienfaits de Iothor(os) – tel était le surnom de Ragouël – vécut là en faisant paître les troupeaux. Quelque temps après, / il les mena paître sur la montagne appelée Sinaï ? : c\’est la plus haute montagne de cette région. Elle a les meilleurs pâturages, car il y pousse une herbe excellente et, comme la renommée voulait que la divinité y eût son séjour, elle n\’avait pas jusque-là été affectée au pacage, les bergers n\’osant pas la gravir.
    Localisation du Sinaï biblique
    Les auteurs bibliques ne savent pas toujours où situer le Sinaï. Le livre des Juges suggère qu\’il est dans le territoire d\’Édom1 et non pas dans la péninsule arabique où la tradition localise le Sinaï. D\’autres passages évoquent 
Paran
 qui
 doit
 se 
trouver
s 
en
 direction
 de
 l’Égypte
 : le livre des Rois décrit une station sur le chemin de Madian vers l\’Égypte et peut correspondre à l\’oasis de Wadi Faran (en) dont l\’étymologie se rapproche avec Paran. Faran est dominé par la montagne Jebel Serbal (en) qui pourrait correspondre au mont Sinaï. Le Deutéronome identifie le Sinaï à un mont Paran situé à 
proximité
 de
 l’oasis 
de
 Qadesh (identifié avec l\’oasis actuel d’ʿEn el-qederat)5 mais l\’auteur biblique se livre probablement à une spéculation savante sur la localisation du Sinaï et probablement pas à un souvenir ancien6. Le livre de Habacuc affirme également une origine de Yahweh du mont Paran qui est mis en parallèle avec Téman (en), nom d’une personne ou d’un clan dans la généalogie d’Édom, voire d\’un toponyme en territoire arabe8. La localisation du Sinaï primitif reste donc un mystère : les auteurs bibliques ne font pas œuvre d\’historien mais donnent une théologie de l\’histoire, rappelant que Yahweh a été à l\’origine la divinité d\’une ou de plusieurs montagnes dans le désert de la péninsule arabique./
    Pour les Hébreux, l\’Arabie est de l\’autre côté du Golfe d\’Aqaba. Pour les Romains, la péninsule arabique est divisée en trois parties :
    Arabia Deserta, le désert intérieur de la péninsule Arabique.
    Arabia Felix, le sud de la péninsule qui contient aujourd\’hui le Yémen
    Arabia Petraea, la frontière de la province romaine contenant le royaume Nabatéen (Jordanie moderne), le sud de l\’actuelle Syrie, la péninsule Sinaï et le nord-ouest de la péninsule arabique. Bordée au nord par la Syrie romaine, à l\’ouest par la Judée et la province d\’Égypte à l\’est.
    Quelle est notre réalité vraie juive ? merci : rivka aimée khayat

  11. On redémarre très fort Cher Rav ! quel excellent cours ! Roch Hodesh Méborah vé kol touv

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