Quand D.ieu t’Aime, il te fait un Cadeau et ce Cadeau est… – Vaykra 4 – Cours Vidéo Torah Judaïsme – 18 mars 2010

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MP4 MP3 Cours Vidéo Torah Judaïsme, comment présenter un cours aussi beau, aussi grand, aussi majestueux ! Mais puisqu’il faut le faire, nous allons tenter en quelques lignes de présenter un cours qui demanderait une vie à décrire et à apprécier. Suite et fin de la semaine sur les cours concernant le sacrifice animal. Jamais ce sujet n’a été aussi passionnant ! Pourquoi le sang est jeté sur l’autel ? En quelques mots, le sang est l’argent, le temps de l’homme et un homme ne peut donner s’il ne se fait pas violence, nul ne partage son être et bien être s’il ne se force pas ! Et pourquoi la graisse est déposée sur l’autel ? Encore une fois, nous ne vous livrons que le parfum du cours, la graisse est symbolisée par la foi et la foi se découvre, elle ne s’impose pas, on ne convertit pas de force, ni par la violence même verbale, cela demande une grande méditation qui peut demander une vie voir des vies. Que faire alors ? Un homme ne peut vivre sans croire, donnons lui un exemple, des enseignements et laissons les personnes arriver d’elles mêmes à ce modèle. Le partage n’est pas inscrit dans la nature humaine à une exception près mais la foi l’est. Autant d’enseignements inscrits dans la graisse et le sang ? Ce n’est qu’un début, le Rav va ensuite développer les différentes offrandes et donner leurs messages codés. Le Talmud enseigne : « Même s’il veut donner plus, il ne peut donner plus de 20% » en référence aux dons que l’homme doit faire. Sur cet enseignement du Talmud, le Tanya intervient avec une nouveauté incroyable. La limite des 20% dont nous parlons dans le Talmud n’est édictée que pour celui qui donne dans l’intention de combler le manque de l’autre. Mais celui qui donne pour se sauver spirituellement ou moralement, pour se réparer ou se protéger peut donner infiniment plus. Le Rav Chnéor Zalman donne d’ailleurs l’exemple d’une personne malade, D.ieu nous en préserve, qui, pour se guérir serait prête à donner toute sa fortune et plus encore dans l’espoir d’une guérison. Le Rav Dynovisz continue de citer le Talmud : « Plus grand est le bien que fait le pauvre au riche que le bien que procure le riche au pauvre ». Le Zohar dit alors:\ » quand on aime, on fait un cadeau\ » et Rabbi Chimone bar Yohai précise que quand D.ieu t’aime,il te fait un cadeau et quel est ce cadeau qu’il te fait, il t’envoie un pauvre ! Arrêtons nous quelques heures sur cette merveille que nous livre le Zohar et méditons. On aurait bien voulu mais le Rav Dynovisz enchaîne et précise donc que la seule fois ou le sang est posé et non jeté, c’est quand nous parlons du sacrifice de Hatat, le seul censé réparer les fautes. L’enseignement devient limpide, quand un homme donne et prend conscience de son problème, de la raison pour laquelle le don s’impose, il n’est plus besoin qu’il se fasse violence, comme le sang que l’on pose en douceur, il donne en douceur et avec douceur. CQFD. Dans un cours à vous couper le souffle, le Rav enchaine en faisant le parallèle avec les 3 formes ou niveaux d’intelligence de l’homme, à savoir la Hokhma, Bina et le Daat. Et la, accrochez vous, le Rav va faire des révélations surprenantes. Faute de place, nous ne vous en disons pas plus mais si avec ce cours, l’ensemble du monde de la Torah, l’ensemble du monde Juif ne décerna pas un Oscar au Rav Dynovisz, une seule explication s’impose : Ils n’ont pas écouté le cours. Profitez bien !


6 juillet 2018
  1. c est pour cela que c est marquer zot hatora dans les korbanots lors de la tefila du matin

  2. Merci pour cette fantastique définition de \ »Habad\ ». Je n\’ai plus aucun doute à présent que c\’est la vraie voie dans laquelle il convient de s\’engager.

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