En effet, ce qui est effrayant c’est que l’on peut faire ce choix de la mort, d’une vie tranquillement confortable à l’effort de surmonter les épreuves, tout à fait consciemment. Mais Hachem parle du sein de la tempête de l’épreuve!
Et L’Eternel bénit la fin de Job plus que son commencement. Aussi, sachons lui dire constamment : « Toi, instruis-moi ». « Je sais que tu peux tout, et qu’aucun dessein n’est trop difficile pour Toi »
Quoiqu’il en soit,Très Cher Rav, Hachem vous a fait un cadeau extraordinaire en vous appelant «Haïm » car vous n’avez pas d’autre choix que de choisir la Vie contribuant ainsi à notre bonheur !
Acquérons donc très vite de l’expérience=un apprentissage permanent en profitant à plein de ses « leçons du vécu »!
Cette notion enseignée ici est à mes yeux la plus essentielle de toutes, car elle modifie profondément l’idée que l’Homme se fait de lui-même, de sa vie et du monde. C’est un retournement complet, et tout doit être réévalué à la lumière de cette compréhension. Cela me fait penser il y a des années de cela je contemplais un jardin au cœur de l’hiver, il y avait un grand arbre sans feuillage, le sol jonché de feuilles mouillées en train de se décomposer, les massifs ne présentaient que de pauvres tiges et feuilles jaunies, le ciel était gris. Un instant j’ai rêvé d’un jardin qui serait éternellement un jardin de printemps. Puis soudain j’ai été saisie d’un frisson… j’ai vu l’abomination que serait ce jardin « figé » dans le temps, immuable, toujours exactement le même, pas une feuille ne tombe, pas un pétale de fleur ne se détache… soudain j’ai vu la mort. Cette prise de conscience m’a marquée, car elle reflétait cet enseignement du perpétuel renouvellement qui est porteur de vie, et qui passe pas une obscurité transitoire. Après il faut pouvoir le vivre dans sa propre vie, dans son quotidien, sentir que dans les temps d’obscurité, une puissance de vie cachée dans notre terre intérieure attend pour rejaillir…
En effet, ce qui est effrayant c’est que l’on peut faire ce choix de la mort, d’une vie tranquillement confortable à l’effort de surmonter les épreuves, tout à fait consciemment. Mais Hachem parle du sein de la tempête de l’épreuve!
Et L’Eternel bénit la fin de Job plus que son commencement. Aussi, sachons lui dire constamment : « Toi, instruis-moi ». « Je sais que tu peux tout, et qu’aucun dessein n’est trop difficile pour Toi »
Quoiqu’il en soit,Très Cher Rav, Hachem vous a fait un cadeau extraordinaire en vous appelant «Haïm » car vous n’avez pas d’autre choix que de choisir la Vie contribuant ainsi à notre bonheur !
Acquérons donc très vite de l’expérience=un apprentissage permanent en profitant à plein de ses « leçons du vécu »!
Cette notion enseignée ici est à mes yeux la plus essentielle de toutes, car elle modifie profondément l’idée que l’Homme se fait de lui-même, de sa vie et du monde. C’est un retournement complet, et tout doit être réévalué à la lumière de cette compréhension. Cela me fait penser il y a des années de cela je contemplais un jardin au cœur de l’hiver, il y avait un grand arbre sans feuillage, le sol jonché de feuilles mouillées en train de se décomposer, les massifs ne présentaient que de pauvres tiges et feuilles jaunies, le ciel était gris. Un instant j’ai rêvé d’un jardin qui serait éternellement un jardin de printemps. Puis soudain j’ai été saisie d’un frisson… j’ai vu l’abomination que serait ce jardin « figé » dans le temps, immuable, toujours exactement le même, pas une feuille ne tombe, pas un pétale de fleur ne se détache… soudain j’ai vu la mort. Cette prise de conscience m’a marquée, car elle reflétait cet enseignement du perpétuel renouvellement qui est porteur de vie, et qui passe pas une obscurité transitoire. Après il faut pouvoir le vivre dans sa propre vie, dans son quotidien, sentir que dans les temps d’obscurité, une puissance de vie cachée dans notre terre intérieure attend pour rejaillir…