Le rôle du peuple juif était de préparer la venue du Messie.
C’est la raison pour laquelle il est le peuple choisi.
Pas élu.
L’élection, elle, étincelle par étincelle, n’est pas affaire de peuple, mais affaire personnelle.
« Je choisirai un frère, et je retrancherai la soeur ; je choisirai une femme, et je retrancherai le mari ».
C’est le seul peuple qui sur la terre (et bien avant Abraham, c’est à dire depuis Adam)
a toujours espéré, prophétisé, et enseigné qu’un rédempteur viendrait, et qu’il éclaterait la tête du serpent.
En ce sens, les premiers hommes étaient déjà, en mentalité, juifs et chrétiens.
C’est ce que dit le prophète Yohanann ben Zakharia (celui que les chrétiens appellent Jésus)
et qu’il ne reconnaissent pas, puisqu’il est dit « tant son visage sera défiguré ».
Que dit Jésus? « Le salut viendra des juifs ».
Que dit-il encore ce Jésus?
« Vous m’appelez Machia’h et vous faites bien, car je le suis.
Je suis le Machia’h ben Joseph Tsadik. Le Messie qui ressemble à Joseph.
Mais viendra après moi un homme dont je ne suis pas digne d’embrasser le bout de la sandale,
lui, le Machia’h ben David,
Moi, je ne suis venu que pour préparer son chemin.
Moi, je vous baptise avec de l’eau de mes paroles, mais lui, il vous baptisera dans le sang.
C’est lui qui vous introduira dans la géoulah toute entière »
A noter, dans les écritures chrétiennes (que les juifs ne lisent pas, malheureusement), des choses absolument saisissantes,
et qu’on pourrait penser écrites par des fous, si l’on n’en décodait pas la profondeur incroyable.
Voyons ces versets incroyables écrit il y a deux mille ans Luc 9:29:
« Pendant que Jean le Baptiste priait,
voici que l’aspect de son visage changea,
comme avec le logiciel déformant d’une production cinématographique 3D.
et son vêtement devint d’une blancheur éclatante.
Et voici que deux autres hommes confondaient alternativement leurs visages 3D avec le sien.
[…]
Or, Saint Pierre, et ses « compagnons de voyage », ne comprenaient que pouic à ce qui se passait,
car leurs yeux étaient appesantis par un sommeil puissant.
Soudain, ils se réveillèrent, et virent les deux hommes qui s’interpénétraient avec le visage de Jésus,
et ils reconnurent sa grandeur cachée.
Alors ils dirent : « on va lui dresser trois tentes dans le désert, une pour lui, une pour Elie, une pour Moïse.
car Pierre devenu fou, ne savait plus ce qu’il disait
(Saint Pierre représente l’Eglise catholique ; ses compagnons de voyage, les autres branches du christianisme: note d’Hachel),
et ne comprenait plus rien de ce qui se disait.
Au moment où ces deux hommes se séparaient de Jean le Baptiste comme par une triple scissiparité bactérienne,
un énorme brouillard vint tout couvrir.
Quand le brouillard se retira, ils ne virent plus que Jésus isolé, et entendirent une voix du ciel qui disait:
« celui-ci est mon Fils ».
Alors les disciples furent saisis d’effroi et d’étonnement, mais ils gardèrent le silence complet sur ce qu’ils avaient vu ».
Ce texte est évidemment codé.
Il faut décoder. L’évangile est un code.
Et ainsi de suite pour beaucoup de versets cachés dans les évangiles de Luc et de Jean.
Non dans les textes de Paul, de Marc, et de Matthieu.
Shalom Rav, à Daniel 5,2 les mots « לְמָאנֵי דַּהֲבָא וְכַסְפָּא » « les vases d’or et d’argent » ont pour valeur numérique 310, comme le mot שָׁאֲגוּ à Tehilim 74,4 : Ils ont rugi ceux qui attaquent (שָׁאֲגוּ צֹרְרֶיךָ). Ce qui est intéressant, c’est que si regarde les premières lettres de Tehilim 74,4 שָׁאֲגוּ צֹרְ, c’est comme si בֵּלְשַׁאצַּר avait vendu son cœur en l’échangeant par גוּ de בְּגֵוָה l’orgeuil. Si on additionne 1 pour chaque mot de « לְמָאנֵי דַּהֲבָא וְכַסְפָּא », on obtient la valeur 313 qui correspond à וּמוֹרַאֲכֶם de Béréshit 9,2 (וּמוֹרַאֲכֶם וְחִתְּכֶם). Le commentaire de Rachi est intéressant car il rapporte que c’est la vie ‘hayim de l’homme qui permet d’avoir l’ascendant sur les animaux, tout en montrant qu’il a fallu après la mort de ‘Og, le protéger contre les rats ; or le nom עוֹג reprend les lettres גוּ. Je pense que c’est justement l’inverse de la vie, car il a le mot גְּוִיָּה qui veut notamment dire corps mort, carcasse – comme c’est utilisé à Shoftim 14,8 (le cadavre d’un lion). Tout ça colle évidemment à l’épreuve de Daniel qui l’a emporté sur les lions, grâce à la brith comme le lien avec לזרעו à Béréshit 17,19. Si on prend les deux premières lettres de chaque mot de « לְמָאנֵי דַּהֲבָא וְכַסְפָּא », on a pour valeur numérique 105 (לם דה וכ) comme celle de Daniel, et force est de constater que si on cherche à trouver l’enchainement de ces lettres dans la Torah tous les intervalles de lettres, on ne trouve qu’un seule solution en testant tous les intervalles de 1 à 1000 lettres : on trouve donc l’enchainement des lettres לם דה וכ tous les 68 lettres à partir du lamed du deuxième הוֹלֵךְ à Vayiqra 11,42 . Or 68 c’est la valeur numérique ‘hayim ! Ainsi, הוֹלֵךְ à Vayiqra 11,42, mem sofit de נַפְשֹׁתֵיכֶם à Vayiqra 11,43, daleth de קָדוֹשׁ à Vayiqra 11,44, hé de לִהְיֹת à Vayiqra 11,45, vav de וּלְכָל à Vayiqra 11,46, le kaf de תֵאָכֵל à Vayiqra 11,47. De plus, si on prend la valeur en AlBam de ces lettres, on obtient 613. Cher Rav ‘Hayim, vous savez, j’écoute énormément de cours sur internet et m’attache comme je peux à la Torah, mais je n’oublie pas que vous êtes un des tous premiers que j’ai écouté et par qui j’ai découvert le aleph-beth. Je vous garde dans mon cœur. Baroukh !
Shalom Rabbanim, merci pour vos cours. Baroukh Hashem ! Pour le grand vav de « גָּחוֹן » à Vayiqra 11,42, il est dit que c’est « דגחון חציין של אותיות של ס »ת ». On trouve l’apparition des lettres « תייס » toutes les 68 lettres (ha’yim) en partant du tav de « וַיִּתְפַּלֵּל » de Bamidbar 21,7. Or on voit que la lettre qui se trouve au milieu, c’est le noun de na’hash « אִם-נָשַׁךְ הַנָּחָשׁ אֶת-אִישׁ » à Bamidbar 21,9. En gardant le pas de 68 lettres, on voit que pour « תייס » on a deux solutions, avec comme lettres milieu le noun de na’hash (dans Bamidbar) et le alef de Ysrael (Yshayahou) ; pour « סיית », on trouve 3 solutions, où les lettres milieux sont un Hé dans le Nom d’Hashem (Devarim), le vav de « וְיַעֲקֹבָה » à Divrei hayamim 1 – 4,36 où ce sont les lettres de Yaaqov ; et la dernière solution, c’est « בִּשְׁנַת » à Melakhim 2-12,7. Ici, on ne voit pas le lien. Cependant, Le vav de « גָּחוֹן » à Vayiqra 11,42 est la 157234ème lettre. 157234 – 152402 = 4832. La 4832ème lettre de la torah c’est la 1ère lettre de « יַהַרְגֵנִי » à Bereshit 4,14. Ce qui est surprenant, c’est qu’en partant du gimmel de « הַגָּן » de Bereshit 3,2 et en comptant toutes les 879 lettres, on arrive ainsi au ‘heth de « תַּצְמִיחַ » à Bereshit 3,18 (« דַרְדַּר » darosh darosh, Talmud Kiddushin ), puis surtout au vav de « גָּדוֹל » (grand vav) et enfin noun du deuxième « שָׁנָה » à Bereshit 5,5 où juste après il est dit qu’Adam mourut. On voit ici le lien avec shin-noun de Melakhim. Le commentaire de Rachi pour Bereshit 4,15 rapporte le Targoum Yonathan où Hashem grava sur le front de Qayin, une lettre de son nom. Était-ce un noun sofit ? un signe pour éloigner les animaux sauvages qui viendraient le tuer. C’est la faute qui tue et principalement l’égo qui en est la racine. Puissions-nous briser ce vase de l’égo qui nous limite et nous connecter au-delà du temps. Baroukh
Shalom Rav, la valeur numérique (1933) du deuxième passage du livre de la guéoula (Bamidbar 10,35) correspond à la valeur numérique du verset Bereshit 48,18 (et il dit à son père: « Pas ainsi, mon père! Puisque celui-ci est l’aîné, mets ta main droite sur sa tête. »). La valeur numérique du passage Bereshit 48,19 est égale à 2675, or la valeur numérique du premier passage du livre de la guéoula est égale à 2236. Il y a donc une différence de 439. Il n’y a qu’un seul verset dans la Torah qui a pour valeur numérique 439, c’est Bamidbar 12,9. On voit qu’il y a un lien, vu que les deux passages, on parle de la nuée. Mais il y a plus que ça, si on cherche l’enchainement des lettres « שתמנסר » on trouve cet enchainement toutes les 439 lettres à partir du shin de rosh « רֹאשׁ מְנַשֶּׁה » à Bereshit 48,17 – puis tav de « שְׂאֵת » Bereshit 49,3 – puis mem de « חֲמֹר » Bereshit 49,14 – puis noun de « תִּהְיֶיןָ » Bereshit 49,26 – puis samekh de « יוֹסֵף » Bereshit 50,2 – puis noun de « גֹּרֶן » Bereshit 50,10. Or on trouve les lettres « שתמ » dans le mot « שְׁלָשְׁתָּם » à Bamidbar 12,4 et les lettres « נסר » dans « וְהֶעָנָן, סָר ». Et là on voit les deux noun. Est-là l’emplacement originel de ce livre de la guéoula ? Baroukh Hashem. Les lettres « שתמנסר » suivent le même schéma que « למדהוכ » et ces lettres parlent de l’humilité de laisser sa place et de bénir le fils comme David a laissé sa place à Shlomo (Melakhim 1 46-48), or Moshé était fort humble, plus qu’aucun homme qui fut sur la terre. Est-ce que la question était de savoir par quels enfants devait passer la brakha? Dans Ménashé, il y a Moshé. Est-ce que Myriam était déjà mère à ce moment de l’histoire ? car il manque 41 à la valeur numérique de Myriam pour égaler la valeur numérique d’Ephraim. Baroukh Hashem. Si on additionne les 85 lettres de Bamidbar 10,35-36 aux lettres de Bamidbar 12,9, on obtient 101 lettres comme Tehilim 101, où on trouve l’enchainement des lettres « שתמנסר » toutes les 299 lettres à partir du shin de « וּמִשְׁפָּט » (Tehim 101,1) jusqu’au resh de « רִחַם » de Tehilim 103,13 car Hashem bénit les enfants de celui qui bénit vraiment les enfants d’autrui (Bereshit 20,18). Baroukh Hashem. En tout 8 pour Tehilim 101 + 29 pour Tehilim 102 + 13 = 50 ! Baroukh
Shalom Rav, on trouve les lettres « למדהוכ » qui s’enchainent dans les mots « עַל-הַמַּחֲנֶה כְּדֶרֶךְ יוֹם כֹּה וּכְדֶרֶךְ » de Bamidbar 11,31. Le Baal haTurim relie « וַיָּגָז » avec celui de Yov 1,18-20. Je pense que Myriam voulait par sa parole, sa prière, protéger la tête comme il est dit « מָעוֹז רֹאשִׁי » à Tehilim 108,9 où les premières lettres des 4 derniers mots forment son nom. Se protéger de la brique qui tombe sur la tête. Shoftim 17,8. On pourrait relier le mot « שִׁלְשֹׁם » de Shemot 5,7 au mot « שְׁלָשְׁתָּם » de Bamidbar 12,4. Quelle est grande la prière d’une maman, de Myriam, de Ra’hel, de Ruth ou d’Esther. Baroukh Hashem
Shalom Rav, ‘hai vé asher, quand on s’intéresse aux déclinaisons suivantes : «שתמנסר רשלמנק קרכלמץ צקיכלף פצטיכע עפחטיס סעזחטן נסוזחם מנהוזל למדהוך כלגדהי יכבגדט טיאבגח» (3867), on remarque qu’on trouve la combinaison «שתמנסר » dans la torah de Moshé toutes les 439 lettres, «רשלמנק » toutes les 236 lettres, «קרכלמץ » toutes les 598 lettres, la combinaison «מנהוזל » deux solutions : toutes les 205 lettres et 152 lettres, «למדהוך» toutes les 68 lettres, et finalement deux solutions pour « כלגדהי » : toutes les 628 lettres et toutes les 451 lettres. Ce qui est intéressant c’est qu’en sommant 439+236+598+205+152+68+628+451 = 2777. Ce nombre est intriguant car il termine par 777 qui semble cacher un t’sod mais ce qui l’est d’autant plus c’est qu’en calculant la somme pour les combinaisons correspondantes en doublant celles pour lesquelles on a deux solutions, on a « שתמנסר רשלמנק קרכלמץ מנהוזל מנהוזל למדהוך כלגדהי כלגדהי » qui équivaut à 2775. Bon ok c’est pas 2777 mais en comptant +2 pour chaque combinaison double, on y est. Le passage Ye’hezqiel 1,3 (20 20) équivaut à 2777 et Ye’hezqiel 42,20 égale 3867. Mais bon surtout, c’est qu’on trouve l’enchainement des lettres «כלגדהי » toutes les 628 lettres à partir du kaf sofit de «כלגדהי» à Bereshit 24,8 où commence l’épisode de la recherche de la femme d’Yts’haq jusqu’au youd de « יָלַד » de Bereshit 25,3 ; or la 41999 lettre après ce youd est le shin de ROSH de Bereshit 48,17 à partir duquel on peut reformer la combinaison «שתמנסר » par saut 439 lettres jusqu’au resh de goren de Bereshit 50,10. Par symétrie, la 41999éme lettre comptée à partir du bet de Bereshit, c’est le shin de ASHER à Bereshit 30,13. Baroukh Hashem ! Bereshit, Bait osher !
Shalom Rav, merci pour vos cours, avez-vous vu ce qu’ils ont inscrit sur les plaquettes des armées en haut ? Baroukh HaShem, on trouve l’enchainement des lettres Alé ot « עליאות » toutes les [22] lettres à partir du ain de « לַעֲשׂוֹת » à Shemot 35,29 jusqu’au tav de «בִּתְבוּנָה» à Shemot 35,31. Ce qui est fort, c’est qu’on trouve l’enchainement des lettres «עליאות» à partir du ain de «עָלָי» à Tehilim 3,7 toutes les 75 lettres. Ainsi lamed de «לַמְנַצֵּחַ» à Tehilim 4,1 puis tout le Tehilim 4 jusqu’au dernier mot, jusqu’au tav de «תּוֹשִׁיבֵנִי». Ce qui est fort c’est ce qui vient juste après «עָלָי» à Tehilim 3,7 : «קוּמָה יְהוָה» comme à Bamidbar 10,35. Allusion, le qouf c’est comme un alef en centaine et le mem c’est comme un tav en dizaine. 75 c’est la valeur numérique de lilah, la nuit, Tehilim 4. Si on compte le nombre de lettres qui forment le passage englobant « עליאות », on a 5 x 75 + 1 = 376 = la valeur du mot Shalom. Or le Tehilim 3 fait référence à l’histoire d’Abshalom. Mais y a plus fort, à Shmouel 2 -19 on retrouve cette histoire et au passage 24, on retrouve les lettres « עליאות » dans les lettres finales du passage
«אֶל-שִׁמְעִי, לֹא תָמוּת; וַיִּשָּׁבַע לוֹ». Mais si on regarde à l’intérieur, on a « עִי, לֹא תָ», il manque le vav qu’on arrache à la mort. Tehilim 3,9. Baroukh Hashem, protection d’Israel.
Le rôle du peuple juif était de préparer la venue du Messie.
C’est la raison pour laquelle il est le peuple choisi.
Pas élu.
L’élection, elle, étincelle par étincelle, n’est pas affaire de peuple, mais affaire personnelle.
« Je choisirai un frère, et je retrancherai la soeur ; je choisirai une femme, et je retrancherai le mari ».
C’est le seul peuple qui sur la terre (et bien avant Abraham, c’est à dire depuis Adam)
a toujours espéré, prophétisé, et enseigné qu’un rédempteur viendrait, et qu’il éclaterait la tête du serpent.
En ce sens, les premiers hommes étaient déjà, en mentalité, juifs et chrétiens.
C’est ce que dit le prophète Yohanann ben Zakharia (celui que les chrétiens appellent Jésus)
et qu’il ne reconnaissent pas, puisqu’il est dit « tant son visage sera défiguré ».
Que dit Jésus? « Le salut viendra des juifs ».
Que dit-il encore ce Jésus?
« Vous m’appelez Machia’h et vous faites bien, car je le suis.
Je suis le Machia’h ben Joseph Tsadik. Le Messie qui ressemble à Joseph.
Mais viendra après moi un homme dont je ne suis pas digne d’embrasser le bout de la sandale,
lui, le Machia’h ben David,
Moi, je ne suis venu que pour préparer son chemin.
Moi, je vous baptise avec de l’eau de mes paroles, mais lui, il vous baptisera dans le sang.
C’est lui qui vous introduira dans la géoulah toute entière »
A noter, dans les écritures chrétiennes (que les juifs ne lisent pas, malheureusement), des choses absolument saisissantes,
et qu’on pourrait penser écrites par des fous, si l’on n’en décodait pas la profondeur incroyable.
Voyons ces versets incroyables écrit il y a deux mille ans Luc 9:29:
« Pendant que Jean le Baptiste priait,
voici que l’aspect de son visage changea,
comme avec le logiciel déformant d’une production cinématographique 3D.
et son vêtement devint d’une blancheur éclatante.
Et voici que deux autres hommes confondaient alternativement leurs visages 3D avec le sien.
[…]
Or, Saint Pierre, et ses « compagnons de voyage », ne comprenaient que pouic à ce qui se passait,
car leurs yeux étaient appesantis par un sommeil puissant.
Soudain, ils se réveillèrent, et virent les deux hommes qui s’interpénétraient avec le visage de Jésus,
et ils reconnurent sa grandeur cachée.
Alors ils dirent : « on va lui dresser trois tentes dans le désert, une pour lui, une pour Elie, une pour Moïse.
car Pierre devenu fou, ne savait plus ce qu’il disait
(Saint Pierre représente l’Eglise catholique ; ses compagnons de voyage, les autres branches du christianisme: note d’Hachel),
et ne comprenait plus rien de ce qui se disait.
Au moment où ces deux hommes se séparaient de Jean le Baptiste comme par une triple scissiparité bactérienne,
un énorme brouillard vint tout couvrir.
Quand le brouillard se retira, ils ne virent plus que Jésus isolé, et entendirent une voix du ciel qui disait:
« celui-ci est mon Fils ».
Alors les disciples furent saisis d’effroi et d’étonnement, mais ils gardèrent le silence complet sur ce qu’ils avaient vu ».
Ce texte est évidemment codé.
Il faut décoder. L’évangile est un code.
Et ainsi de suite pour beaucoup de versets cachés dans les évangiles de Luc et de Jean.
Non dans les textes de Paul, de Marc, et de Matthieu.
Shalom Rav, à Daniel 5,2 les mots « לְמָאנֵי דַּהֲבָא וְכַסְפָּא » « les vases d’or et d’argent » ont pour valeur numérique 310, comme le mot שָׁאֲגוּ à Tehilim 74,4 : Ils ont rugi ceux qui attaquent (שָׁאֲגוּ צֹרְרֶיךָ). Ce qui est intéressant, c’est que si regarde les premières lettres de Tehilim 74,4 שָׁאֲגוּ צֹרְ, c’est comme si בֵּלְשַׁאצַּר avait vendu son cœur en l’échangeant par גוּ de בְּגֵוָה l’orgeuil. Si on additionne 1 pour chaque mot de « לְמָאנֵי דַּהֲבָא וְכַסְפָּא », on obtient la valeur 313 qui correspond à וּמוֹרַאֲכֶם de Béréshit 9,2 (וּמוֹרַאֲכֶם וְחִתְּכֶם). Le commentaire de Rachi est intéressant car il rapporte que c’est la vie ‘hayim de l’homme qui permet d’avoir l’ascendant sur les animaux, tout en montrant qu’il a fallu après la mort de ‘Og, le protéger contre les rats ; or le nom עוֹג reprend les lettres גוּ. Je pense que c’est justement l’inverse de la vie, car il a le mot גְּוִיָּה qui veut notamment dire corps mort, carcasse – comme c’est utilisé à Shoftim 14,8 (le cadavre d’un lion). Tout ça colle évidemment à l’épreuve de Daniel qui l’a emporté sur les lions, grâce à la brith comme le lien avec לזרעו à Béréshit 17,19. Si on prend les deux premières lettres de chaque mot de « לְמָאנֵי דַּהֲבָא וְכַסְפָּא », on a pour valeur numérique 105 (לם דה וכ) comme celle de Daniel, et force est de constater que si on cherche à trouver l’enchainement de ces lettres dans la Torah tous les intervalles de lettres, on ne trouve qu’un seule solution en testant tous les intervalles de 1 à 1000 lettres : on trouve donc l’enchainement des lettres לם דה וכ tous les 68 lettres à partir du lamed du deuxième הוֹלֵךְ à Vayiqra 11,42 . Or 68 c’est la valeur numérique ‘hayim ! Ainsi, הוֹלֵךְ à Vayiqra 11,42, mem sofit de נַפְשֹׁתֵיכֶם à Vayiqra 11,43, daleth de קָדוֹשׁ à Vayiqra 11,44, hé de לִהְיֹת à Vayiqra 11,45, vav de וּלְכָל à Vayiqra 11,46, le kaf de תֵאָכֵל à Vayiqra 11,47. De plus, si on prend la valeur en AlBam de ces lettres, on obtient 613. Cher Rav ‘Hayim, vous savez, j’écoute énormément de cours sur internet et m’attache comme je peux à la Torah, mais je n’oublie pas que vous êtes un des tous premiers que j’ai écouté et par qui j’ai découvert le aleph-beth. Je vous garde dans mon cœur. Baroukh !
Shalom Rabbanim, merci pour vos cours. Baroukh Hashem ! Pour le grand vav de « גָּחוֹן » à Vayiqra 11,42, il est dit que c’est « דגחון חציין של אותיות של ס »ת ». On trouve l’apparition des lettres « תייס » toutes les 68 lettres (ha’yim) en partant du tav de « וַיִּתְפַּלֵּל » de Bamidbar 21,7. Or on voit que la lettre qui se trouve au milieu, c’est le noun de na’hash « אִם-נָשַׁךְ הַנָּחָשׁ אֶת-אִישׁ » à Bamidbar 21,9. En gardant le pas de 68 lettres, on voit que pour « תייס » on a deux solutions, avec comme lettres milieu le noun de na’hash (dans Bamidbar) et le alef de Ysrael (Yshayahou) ; pour « סיית », on trouve 3 solutions, où les lettres milieux sont un Hé dans le Nom d’Hashem (Devarim), le vav de « וְיַעֲקֹבָה » à Divrei hayamim 1 – 4,36 où ce sont les lettres de Yaaqov ; et la dernière solution, c’est « בִּשְׁנַת » à Melakhim 2-12,7. Ici, on ne voit pas le lien. Cependant, Le vav de « גָּחוֹן » à Vayiqra 11,42 est la 157234ème lettre. 157234 – 152402 = 4832. La 4832ème lettre de la torah c’est la 1ère lettre de « יַהַרְגֵנִי » à Bereshit 4,14. Ce qui est surprenant, c’est qu’en partant du gimmel de « הַגָּן » de Bereshit 3,2 et en comptant toutes les 879 lettres, on arrive ainsi au ‘heth de « תַּצְמִיחַ » à Bereshit 3,18 (« דַרְדַּר » darosh darosh, Talmud Kiddushin ), puis surtout au vav de « גָּדוֹל » (grand vav) et enfin noun du deuxième « שָׁנָה » à Bereshit 5,5 où juste après il est dit qu’Adam mourut. On voit ici le lien avec shin-noun de Melakhim. Le commentaire de Rachi pour Bereshit 4,15 rapporte le Targoum Yonathan où Hashem grava sur le front de Qayin, une lettre de son nom. Était-ce un noun sofit ? un signe pour éloigner les animaux sauvages qui viendraient le tuer. C’est la faute qui tue et principalement l’égo qui en est la racine. Puissions-nous briser ce vase de l’égo qui nous limite et nous connecter au-delà du temps. Baroukh
Shalom Rav, la valeur numérique (1933) du deuxième passage du livre de la guéoula (Bamidbar 10,35) correspond à la valeur numérique du verset Bereshit 48,18 (et il dit à son père: « Pas ainsi, mon père! Puisque celui-ci est l’aîné, mets ta main droite sur sa tête. »). La valeur numérique du passage Bereshit 48,19 est égale à 2675, or la valeur numérique du premier passage du livre de la guéoula est égale à 2236. Il y a donc une différence de 439. Il n’y a qu’un seul verset dans la Torah qui a pour valeur numérique 439, c’est Bamidbar 12,9. On voit qu’il y a un lien, vu que les deux passages, on parle de la nuée. Mais il y a plus que ça, si on cherche l’enchainement des lettres « שתמנסר » on trouve cet enchainement toutes les 439 lettres à partir du shin de rosh « רֹאשׁ מְנַשֶּׁה » à Bereshit 48,17 – puis tav de « שְׂאֵת » Bereshit 49,3 – puis mem de « חֲמֹר » Bereshit 49,14 – puis noun de « תִּהְיֶיןָ » Bereshit 49,26 – puis samekh de « יוֹסֵף » Bereshit 50,2 – puis noun de « גֹּרֶן » Bereshit 50,10. Or on trouve les lettres « שתמ » dans le mot « שְׁלָשְׁתָּם » à Bamidbar 12,4 et les lettres « נסר » dans « וְהֶעָנָן, סָר ». Et là on voit les deux noun. Est-là l’emplacement originel de ce livre de la guéoula ? Baroukh Hashem. Les lettres « שתמנסר » suivent le même schéma que « למדהוכ » et ces lettres parlent de l’humilité de laisser sa place et de bénir le fils comme David a laissé sa place à Shlomo (Melakhim 1 46-48), or Moshé était fort humble, plus qu’aucun homme qui fut sur la terre. Est-ce que la question était de savoir par quels enfants devait passer la brakha? Dans Ménashé, il y a Moshé. Est-ce que Myriam était déjà mère à ce moment de l’histoire ? car il manque 41 à la valeur numérique de Myriam pour égaler la valeur numérique d’Ephraim. Baroukh Hashem. Si on additionne les 85 lettres de Bamidbar 10,35-36 aux lettres de Bamidbar 12,9, on obtient 101 lettres comme Tehilim 101, où on trouve l’enchainement des lettres « שתמנסר » toutes les 299 lettres à partir du shin de « וּמִשְׁפָּט » (Tehim 101,1) jusqu’au resh de « רִחַם » de Tehilim 103,13 car Hashem bénit les enfants de celui qui bénit vraiment les enfants d’autrui (Bereshit 20,18). Baroukh Hashem. En tout 8 pour Tehilim 101 + 29 pour Tehilim 102 + 13 = 50 ! Baroukh
Shalom Rav, on trouve les lettres « למדהוכ » qui s’enchainent dans les mots « עַל-הַמַּחֲנֶה כְּדֶרֶךְ יוֹם כֹּה וּכְדֶרֶךְ » de Bamidbar 11,31. Le Baal haTurim relie « וַיָּגָז » avec celui de Yov 1,18-20. Je pense que Myriam voulait par sa parole, sa prière, protéger la tête comme il est dit « מָעוֹז רֹאשִׁי » à Tehilim 108,9 où les premières lettres des 4 derniers mots forment son nom. Se protéger de la brique qui tombe sur la tête. Shoftim 17,8. On pourrait relier le mot « שִׁלְשֹׁם » de Shemot 5,7 au mot « שְׁלָשְׁתָּם » de Bamidbar 12,4. Quelle est grande la prière d’une maman, de Myriam, de Ra’hel, de Ruth ou d’Esther. Baroukh Hashem
Shalom Rav, ‘hai vé asher, quand on s’intéresse aux déclinaisons suivantes : «שתמנסר רשלמנק קרכלמץ צקיכלף פצטיכע עפחטיס סעזחטן נסוזחם מנהוזל למדהוך כלגדהי יכבגדט טיאבגח» (3867), on remarque qu’on trouve la combinaison «שתמנסר » dans la torah de Moshé toutes les 439 lettres, «רשלמנק » toutes les 236 lettres, «קרכלמץ » toutes les 598 lettres, la combinaison «מנהוזל » deux solutions : toutes les 205 lettres et 152 lettres, «למדהוך» toutes les 68 lettres, et finalement deux solutions pour « כלגדהי » : toutes les 628 lettres et toutes les 451 lettres. Ce qui est intéressant c’est qu’en sommant 439+236+598+205+152+68+628+451 = 2777. Ce nombre est intriguant car il termine par 777 qui semble cacher un t’sod mais ce qui l’est d’autant plus c’est qu’en calculant la somme pour les combinaisons correspondantes en doublant celles pour lesquelles on a deux solutions, on a « שתמנסר רשלמנק קרכלמץ מנהוזל מנהוזל למדהוך כלגדהי כלגדהי » qui équivaut à 2775. Bon ok c’est pas 2777 mais en comptant +2 pour chaque combinaison double, on y est. Le passage Ye’hezqiel 1,3 (20 20) équivaut à 2777 et Ye’hezqiel 42,20 égale 3867. Mais bon surtout, c’est qu’on trouve l’enchainement des lettres «כלגדהי » toutes les 628 lettres à partir du kaf sofit de «כלגדהי» à Bereshit 24,8 où commence l’épisode de la recherche de la femme d’Yts’haq jusqu’au youd de « יָלַד » de Bereshit 25,3 ; or la 41999 lettre après ce youd est le shin de ROSH de Bereshit 48,17 à partir duquel on peut reformer la combinaison «שתמנסר » par saut 439 lettres jusqu’au resh de goren de Bereshit 50,10. Par symétrie, la 41999éme lettre comptée à partir du bet de Bereshit, c’est le shin de ASHER à Bereshit 30,13. Baroukh Hashem ! Bereshit, Bait osher !
Shalom Rav, merci pour vos cours, avez-vous vu ce qu’ils ont inscrit sur les plaquettes des armées en haut ? Baroukh HaShem, on trouve l’enchainement des lettres Alé ot « עליאות » toutes les [22] lettres à partir du ain de « לַעֲשׂוֹת » à Shemot 35,29 jusqu’au tav de «בִּתְבוּנָה» à Shemot 35,31. Ce qui est fort, c’est qu’on trouve l’enchainement des lettres «עליאות» à partir du ain de «עָלָי» à Tehilim 3,7 toutes les 75 lettres. Ainsi lamed de «לַמְנַצֵּחַ» à Tehilim 4,1 puis tout le Tehilim 4 jusqu’au dernier mot, jusqu’au tav de «תּוֹשִׁיבֵנִי». Ce qui est fort c’est ce qui vient juste après «עָלָי» à Tehilim 3,7 : «קוּמָה יְהוָה» comme à Bamidbar 10,35. Allusion, le qouf c’est comme un alef en centaine et le mem c’est comme un tav en dizaine. 75 c’est la valeur numérique de lilah, la nuit, Tehilim 4. Si on compte le nombre de lettres qui forment le passage englobant « עליאות », on a 5 x 75 + 1 = 376 = la valeur du mot Shalom. Or le Tehilim 3 fait référence à l’histoire d’Abshalom. Mais y a plus fort, à Shmouel 2 -19 on retrouve cette histoire et au passage 24, on retrouve les lettres « עליאות » dans les lettres finales du passage
«אֶל-שִׁמְעִי, לֹא תָמוּת; וַיִּשָּׁבַע לוֹ». Mais si on regarde à l’intérieur, on a « עִי, לֹא תָ», il manque le vav qu’on arrache à la mort. Tehilim 3,9. Baroukh Hashem, protection d’Israel.