Ignorance, chez les religieux, que de mépriser le corps, c’est à dire les sens.
Ils disent que la mort venant, l’esprit quitte le corps, ce qui est un double contresens : ce devrait être le corps qui quitte l’esprit,
mais si cela était le cas, il n’y aurait plus d’esprit du tout, puisque sans le corps; l’esprit ne pourrait plus avoir ni connaissance, ni pensée, ni sensation, ni perception, ni vie.
Les idées, c’est à dire les sensations et les perceptions, nous viennent du dehors, c’est à dire de Dieu ; les pensées nous viennent du dedans, c’est à dire de nous. Mais pour qu’une pensée soit vivante, c’est à dire réellement existante, il nous faut lui donner du pain du dehors.
Il est donc manifestement absurde de considérer qu’après la mort, l’esprit puisse subsister sans corps, c’est à dire sans sens.
C’est une conception très chrétienne, mais très fausse que de penser qu’après la mort, les bienheureux deviennent comme des esprits, comme des âmes ethérées, qui tournent en voletant comme des papillons autour du bon Dieu.
Vaine est ici-bas, la fausse distinction entre intellectuel (spirituel) et matériel. Entre le fait que je perçois une tasse sur cette table, et le fait qu’il y ait une tasse sur cette table. Vaine aussi cette distinction dans le monde futur et dans tout monde possible.
De là, stupide aussi le fait de dire que le monde spirituel est plus beau que le monde matériel, ou que le monde matériel est plus beau que le monde spirituel. Ces termes énoncée ainsi n’ont pas de sens. Pour mieux dire, ce n’est qu’une idée abstraite que l’homme se fait en divisant les deux. Une simple, mais extraordinairement puissante, idée abstraite.
Ignorance, chez les religieux, que de mépriser le corps, c’est à dire les sens.
Ils disent que la mort venant, l’esprit quitte le corps, ce qui est un double contresens : ce devrait être le corps qui quitte l’esprit,
mais si cela était le cas, il n’y aurait plus d’esprit du tout, puisque sans le corps; l’esprit ne pourrait plus avoir ni connaissance, ni pensée, ni sensation, ni perception, ni vie.
Les idées, c’est à dire les sensations et les perceptions, nous viennent du dehors, c’est à dire de Dieu ; les pensées nous viennent du dedans, c’est à dire de nous. Mais pour qu’une pensée soit vivante, c’est à dire réellement existante, il nous faut lui donner du pain du dehors.
Il est donc manifestement absurde de considérer qu’après la mort, l’esprit puisse subsister sans corps, c’est à dire sans sens.
C’est une conception très chrétienne, mais très fausse que de penser qu’après la mort, les bienheureux deviennent comme des esprits, comme des âmes ethérées, qui tournent en voletant comme des papillons autour du bon Dieu.
Vaine est ici-bas, la fausse distinction entre intellectuel (spirituel) et matériel. Entre le fait que je perçois une tasse sur cette table, et le fait qu’il y ait une tasse sur cette table. Vaine aussi cette distinction dans le monde futur et dans tout monde possible.
De là, stupide aussi le fait de dire que le monde spirituel est plus beau que le monde matériel, ou que le monde matériel est plus beau que le monde spirituel. Ces termes énoncée ainsi n’ont pas de sens. Pour mieux dire, ce n’est qu’une idée abstraite que l’homme se fait en divisant les deux. Une simple, mais extraordinairement puissante, idée abstraite.
Merci Rav Dynovisz de nous expliqué, les enseignements du Rav Nachman. Il faut avoir beaucoup d’humilité pour comprendre ces enseignements.
Le machiah attend peut-être qu’on le réclame? (Ne serait pas du genre à s’imposer) כֹּל כֵּלִי יוֹצֶר עָלַיִךְ לֹא יִצְלַח