TANIA -LE BENONI (L’HOMME NORMAL)-18-02-2024

  1. On a un jour posé la question à Rav Rachel (un rabbin judéo-chrétien assez islamophobe):
    Qu’est ce que l’homme authentique?
    Le Rav Rachel , un instant soupçonné d’idéologie woke à cause de son nom, plus proche d’une gay-pride que de David allant massacrer un lion qui ennuyait ses brebis, a répondu :
    « L’homme authentique, c’est celui qui aime Dieu ».
    Il est pas juif?
    Non.
    Il est pas chrétien?
    Non
    Il est pas bouddhiste?
    Non.
    Il est pas musulman, religion magnifique d’amour et de paix qui demande d’attaquer le cou des chrétiens et des juifs avec une bomme lame, et de mettre sur la gueule de sa femme si elle veut pas accomplir le vidange de couilles du maître?
    Non.
    Encore que Aôôôlah est gentil.
    Si elle consent et qu’elle est gentille, ne la frappez plus Aôôôlah bon, Aôôôllah savant, Aôôôlllah compatissant.
    Mais non quand même.
    Bon, j’en étais où? je m’y perds dans tout ça.
    Ah oui, je parlais de l’homme authentique, de celui qui aime Dieu.
    Mais comment aimer Dieu que l’on ne peut voir? Ce qui est la grande question de tout les théologiens de renom.
    Il est clair qu’on ne peut comprendre, ni connaitre, la substance de Dieu.
    De même que l’homme ne peut comprendre, la substance même de son âme.
    Si l’on pose la question a un homme : qui es-tu? Il ne saura pas répondre.
    Dieu lui-même lorsque Moïse lui pose la question:
    « Mais ils vont me demander qui tu es…. Que dois-je leur répondre…. »
    Un balbutiement se fait entendre…
    « Euh…Je.. Dis-leur que je suis…. Dis-leur « Je suis celui que je suis m’envoie vers vous ».
    On va alors dire : Mais alors, si un homme lui même ne peut se connaitre, hormis l’idée qu’il a qu’il est, et si Dieu lui-même ne peut pas savoir ce qu’il est, ni donner une définition précise de ce qu’il est, comment connaitre Dieu? »
    La réponse est évidente.
    L’homme ne pourra jamais ce connaitre médiatement, pas plus que Dieu ne pourra se connaître médiatement Lui-même, pas plus que l’homme ne pourra connaitre l’homme, ni l’homme Dieu ».
    Parce que c’est impossible.
    Reste alors la connaissance déléguée.
    Il est alors du devoir de l’homme de tenter, quand même, de connaitre Dieu.
    De façon indirecte mais très probante.
    « Celui qui m’aime, c’est celui qui aime mon Fils ».
    Le Fils, on peut le voir, l’entendre, le toucher. Comme le dit le prophète juif:
    « Il couvre les pâturages de moutons »
    Les moutons, les pâturages, on les voit, on les touche.
    Faut quand même être bête pour croire que le prophète voulait juste nous dire qu’il y avait des moutons dans les pâturages.
    Dans les évangiles chrétiens, Yohanann dit l a même chose. « Ce que nos yeux ont vu, ce que nos mains ont touché, c’est le Fils de Dieu que nous vous annonçons ».
    Un homme ne pourra jamais faire comprendre sa substance intrinsèque, qu’il ne comprend pas lui-même. La belle affaire de dire : « Je suis une âme qui pense, qui veut, qui ne veut pas, et qui ressent ». Ca ne décrit pas l’âme qui n’est pas une idée, mais un réceptacle, et qui, justement, ne peut pas se décrire par une idée, comme un disque Vinyl ne peut pas se décrire par les texte qui figurent dessus.

    On en revient à l’amour de Dieu.

    Il n’y a qu’une seule question qui est posé à l’homme à la fin de son existence.

    « As-tu

  2. On a un jour posé la question à Rav Rachel (un rabbin judéo-chrétien assez islamophobe):
    Qu’est ce que l’homme authentique?
    Le Rav Rachel , un instant soupçonné d’idéologie woke à cause de son nom, plus proche d’une gay-pride que de David allant massacrer un lion qui ennuyait ses brebis, a répondu :
    « L’homme authentique, c’est celui qui aime Dieu ».
    Il est pas juif?
    Non.
    Il est pas chrétien?
    Non
    Il est pas bouddhiste?
    Non.
    Il est pas musulman, religion magnifique d’amour et de paix qui demande d’attaquer le cou des chrétiens et des juifs avec une bomme lame, et de mettre sur la gueule de sa femme si elle veut pas accomplir le vidange de couilles du maître?
    Non.
    Encore que Aôôôlah est gentil.
    Si elle consent et qu’elle est gentille, ne la frappez plus Aôôôlah bon, Aôôôllah savant, Aôôôlllah compatissant.
    Mais non quand même.
    Bon, j’en étais où? je m’y perds dans tout ça.
    Ah oui, je parlais de l’homme authentique, de celui qui aime Dieu.
    Mais comment aimer Dieu que l’on ne peut voir? Ce qui est la grande question de tout les théologiens de renom.
    Il est clair qu’on ne peut comprendre, ni connaitre, la substance de Dieu.
    De même que l’homme ne peut comprendre, la substance même de son âme.
    Si l’on pose la question a un homme : qui es-tu? Il ne saura pas répondre.
    Dieu lui-même lorsque Moïse lui pose la question:
    « Mais ils vont me demander qui tu es…. Que dois-je leur répondre…. »
    Un balbutiement se fait entendre…
    « Euh…Je.. Dis-leur que je suis…. Dis-leur « Je suis celui que je suis m’envoie vers vous ».
    On va alors dire : Mais alors, si un homme lui même ne peut se connaitre, hormis l’idée qu’il a qu’il est, et si Dieu lui-même ne peut pas savoir ce qu’il est, ni donner une définition précise de ce qu’il est, comment connaitre Dieu? »
    La réponse est évidente.
    L’homme ne pourra jamais ce connaitre médiatement, pas plus que Dieu ne pourra se connaître médiatement Lui-même, pas plus que l’homme ne pourra connaitre l’homme, ni l’homme Dieu ».
    Parce que c’est impossible.
    Reste alors la connaissance déléguée.
    Il est alors du devoir de l’homme de tenter, quand même, de connaitre Dieu.
    De façon indirecte mais très probante.
    « Celui qui m’aime, c’est celui qui aime mon Fils ».
    Le Fils, on peut le voir, l’entendre, le toucher. Comme le dit le prophète juif:
    « Il couvre les pâturages de moutons »
    Les moutons, les pâturages, on les voit, on les touche.
    Faut quand même être bête pour croire que le prophète voulait juste nous dire qu’il y avait des moutons dans les pâturages.
    Dans les évangiles chrétiens, Yohanann dit l a même chose. « Ce que nos yeux ont vu, ce que nos mains ont touché, c’est le Fils de Dieu que nous vous annonçons ».
    Un homme ne pourra jamais faire comprendre sa substance intrinsèque, qu’il ne comprend pas lui-même. La belle affaire de dire : « Je suis une âme qui pense, qui veut, qui ne veut pas, et qui ressent ». Ca ne décrit pas l’âme qui n’est pas une idée, mais un réceptacle, et qui, justement, ne peut pas se décrire par une idée, comme un disque Vinyl ne peut pas se décrire par les texte qui figurent dessus.

    On en revient à l’amour de Dieu.

    Il n’y a qu’une seule question qui est posé à l’homme à la fin de son existence.

    « As-tu attendu la venue du Messie? »

    Une autre est également posée, mais c’est la même :
    « Aimes-tu Dieu? »

    Il est évident que c’est la même.

    Prenons l’inverse par l’absurde.

    Si on n’aime pas Dieu, vous croyez qu’on attends son Messie avec impatience?

  3. On a un jour posé la question à Rav Rachel (un rabbin judéo-chrétien assez islamophobe):
    Qu’est ce que l’homme authentique?
    Le Rav Rachel , un instant soupçonné d’idéologie woke à cause de son nom, plus proche d’une gay-pride que de David allant massacrer un lion qui ennuyait ses brebis, a répondu :
    « L’homme authentique, c’est celui qui aime Dieu ».
    Il est pas juif?
    Non.
    Il est pas chrétien?
    Non
    Il est pas bouddhiste?
    Non.
    Il est pas musulman, religion magnifique d’amour et de paix qui demande d’attaquer le cou des chrétiens et des juifs avec une bomme lame, et de mettre sur la gueule de sa femme si elle veut pas accomplir le vidange de couilles du maître?
    Non.
    Encore que Aôôôlah est gentil.
    Si elle consent et qu’elle est gentille, ne la frappez plus Aôôôlah bon, Aôôôllah savant, Aôôôlllah compatissant.
    Mais non quand même.
    Bon, j’en étais où? je m’y perds dans tout ça.
    Ah oui, je parlais de l’homme authentique, de celui qui aime Dieu.
    Mais comment aimer Dieu que l’on ne peut voir? Ce qui est la grande question de tout les théologiens de renom.
    Il est clair qu’on ne peut comprendre, ni connaitre, la substance de Dieu.
    De même que l’homme ne peut comprendre, la substance même de son âme.
    Si l’on pose la question a un homme : qui es-tu? Il ne saura pas répondre.
    Dieu lui-même lorsque Moïse lui pose la question:
    « Mais ils vont me demander qui tu es…. Que dois-je leur répondre…. »
    Un balbutiement se fait entendre…
    « Euh…Je.. Dis-leur que je suis…. Dis-leur « Je suis celui que je suis m’envoie vers vous ».
    On va alors dire : Mais alors, si un homme lui même ne peut se connaitre, hormis l’idée qu’il a qu’il est, et si Dieu lui-même ne peut pas savoir ce qu’il est, ni donner une définition précise de ce qu’il est, comment connaitre Dieu? »
    La réponse est évidente.
    L’homme ne pourra jamais ce connaitre médiatement, pas plus que Dieu ne pourra se connaître médiatement Lui-même, pas plus que l’homme ne pourra connaitre l’homme, ni l’homme Dieu ».
    Parce que c’est impossible.
    Reste alors la connaissance déléguée.
    Il est alors du devoir de l’homme de tenter, quand même, de connaitre Dieu.
    De façon indirecte mais très probante.
    « Celui qui m’aime, c’est celui qui aime mon Fils ».
    Le Fils, on peut le voir, l’entendre, le toucher. Comme le dit le prophète juif:
    « Il couvre les pâturages de moutons »
    Les moutons, les pâturages, on les voit, on les touche.
    Faut quand même être bête pour croire que le prophète voulait juste nous dire qu’il y avait des moutons dans les pâturages.
    Dans les évangiles chrétiens, Yohanann dit la même chose. « Ce que nos yeux ont vu, ce que nos mains ont touché, c’est le Fils de Dieu que nous vous annonçons ».
    Un homme ne pourra jamais faire comprendre sa substance intrinsèque, qu’il ne comprend pas lui-même. La belle affaire de dire : « Je suis une âme qui pense, qui veut, qui ne veut pas, et qui ressent ». Ca ne décrit pas l’âme qui n’est pas une idée, mais un réceptacle, et qui, justement, ne peut pas se décrire par une idée, comme un disque Vinyl ne peut pas se décrire par les texte qui figurent dessus.

    On en revient à l’amour de Dieu.

    Il n’y a qu’une seule question qui est posé à l’homme à la fin de son existence.

    « As-tu attendu la venue du Messie? »

    Une autre est également posée, mais c’est la même :
    « Aimes-tu Dieu? »

    Il est évident que c’est la même.

    Prenons l’inverse par l’absurde.

    Si on n’aime pas Dieu, vous croyez qu’on attend son Messie avec impatience?

  4. Quelques petits problèmes sataniques de connection… Mais c’est pas grave… :))

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