Je disais, il y a quelques temps, qu’il y avait deux fautes. La première faute est celle d’Adam contre Dieu. C’est une faute de mal-amour. L’une de ses conséquences, aujourd’hui surtout, étant la recherche de l’abstraction et de la fuite de la réalité et de la beauté du monde créé par Dieu. L’homme se met alors à aimer des idoles, ou à cultiver des notions de laideur. Cependant, le rav Dynovisz a raison, le culte des idoles ce n’est pas, mais alors pas du tout, d’aller prier une statue de la Sainte Vierge, ou d’aller mettre un bouquet de fleurs devant la statue de Charles de Gaulle, ou celle du roi David. Tu parles que le bon Dieu, il s’en fout de ça. C’est pas d’ça qu’on parle. Dieu est un Dieu jaloux, certes, mais c’est pas de ça qu’on parle. Quand on dit : « tu ne te feras pas d’images taillées », c’est pas d’ça qu’on parle. On parle de toute cette culture humaine puante qui n’aime pas Dieu, et qui est incapable de représenter un portrait de femme, une peinture de paysage, ou de sculpter un athlète grec, de la façon la plus proche possible de la réalité, dans l’approche la plus parfaite possible de ce que le bon Dieu a créé sur la terre.
On se met alors, par haine et par dégoût de Dieu, à créer des peintures abstraites, des écritures abstraites, des mathématiques abstraite, des pensées abstraites. On peint un triangle rouge sur fond noir, on écrit que « les vendredis blancs écarlates sont plus rectangulaires que des carrés ronds moins opaques », on enseigne les mystères pauliniens, etc… En musique aussi, on touche à l’abstraction, et on se met à adorer des chanteurs sans voix (Vanessa Paradis)des musiques sans rythme (Disco), des chansons sans paroles (Love you Baby! Oh! Baby! love you, love you Baby! Oh! Baby! Houhou! Baby!’ ou sans musique (culture rap).
Socialement les hommes épousent des hommes, et les femmes épousent des femmes. Et on trouve bien d’idolâtrer ces nouvelles formes de sociologie. Et quiconque n’idolâtre pas, se retrouve en prison.
La seconde faute, est celle d’Adam contre lui-même. Caïn tue son frère Abel. Et pourquoi le tue-t-il? Parce que qu’Abel accepte le sentence du bon Dieu, et prépare courageusement des offrandes terrestres agréables à Dieu. Caïn est fainéant, il ne veut pas partager avec son frère le dur labeur quotidien, il produit de basses oeuvres dans le monde, c’est à dire toutes les oeuvres que peut engendrer la fainéantise humaine, et il offre ça au bon Dieu comme un tableau de chasse, fier de lui. Evidemment, le bon Dieu n’agréait pas. Caïn s’enfonce alors dans le meurtre. Ne pouvant avoir le courage d’égaler son frère, et voulant vivre dans la facilité, il trouve plus facile de l’éliminer physiquement (oeuvre de fainéant également).
Nous avons donc là les deux fautes originelles:
1. l’abstraction et la haine du FILS de Dieu (c’est à dire la création universelle), et le révolte contre Dieu (idolâtrie).
2. la fainéantise humaine, et le refus de se fatiguer soi-même (faisons travailler les autres et vivons comme un Pharaon) qui conduit, en fin de course, au meurtre de l’homme par l’homme.
A noter que pour résoudre ces deux fautes, le bon Dieu donne deux tables.
Une pour chaque faute. Ainsi les quatre premiers commandements se trouvent sur la première table, et concernent la première faute, celle de l’homme contre son Dieu, et les conseils que Dieu donne pour guérir la faute. Les six autres commandements se trouvent sur la seconde table, celle qui tente de freiner la révolte psychopathique et effrénée de l’homme fainéant et jaloux contre son frère.
Joyeuse fête de Hanoukka, pour vous et toute votre famille, et pour la terre d’Israël.merci rav Dynovisz.
Je disais, il y a quelques temps, qu’il y avait deux fautes.
La première faute est celle d’Adam contre Dieu. C’est une faute de mal-amour. L’une de ses conséquences, aujourd’hui surtout, étant la recherche de l’abstraction et de la fuite de la réalité et de la beauté du monde créé par Dieu. L’homme se met alors à aimer des idoles, ou à cultiver des notions de laideur. Cependant, le rav Dynovisz a raison, le culte des idoles ce n’est pas, mais alors pas du tout, d’aller prier une statue de la Sainte Vierge, ou d’aller mettre un bouquet de fleurs devant la statue de Charles de Gaulle, ou celle du roi David. Tu parles que le bon Dieu, il s’en fout de ça. C’est pas d’ça qu’on parle. Dieu est un Dieu jaloux, certes, mais c’est pas de ça qu’on parle. Quand on dit : « tu ne te feras pas d’images taillées », c’est pas d’ça qu’on parle. On parle de toute cette culture humaine puante qui n’aime pas Dieu, et qui est incapable de représenter un portrait de femme, une peinture de paysage, ou de sculpter un athlète grec, de la façon la plus proche possible de la réalité, dans l’approche la plus parfaite possible de ce que le bon Dieu a créé sur la terre.
On se met alors, par haine et par dégoût de Dieu, à créer des peintures abstraites, des écritures abstraites, des mathématiques abstraite, des pensées abstraites. On peint un triangle rouge sur fond noir, on écrit que « les vendredis blancs écarlates sont plus rectangulaires que des carrés ronds moins opaques », on enseigne les mystères pauliniens, etc… En musique aussi, on touche à l’abstraction, et on se met à adorer des chanteurs sans voix (Vanessa Paradis)des musiques sans rythme (Disco), des chansons sans paroles (Love you Baby! Oh! Baby! love you, love you Baby! Oh! Baby! Houhou! Baby!’ ou sans musique (culture rap).
Socialement les hommes épousent des hommes, et les femmes épousent des femmes. Et on trouve bien d’idolâtrer ces nouvelles formes de sociologie. Et quiconque n’idolâtre pas, se retrouve en prison.
La seconde faute, est celle d’Adam contre lui-même. Caïn tue son frère Abel. Et pourquoi le tue-t-il? Parce que qu’Abel accepte le sentence du bon Dieu, et prépare courageusement des offrandes terrestres agréables à Dieu. Caïn est fainéant, il ne veut pas partager avec son frère le dur labeur quotidien, il produit de basses oeuvres dans le monde, c’est à dire toutes les oeuvres que peut engendrer la fainéantise humaine, et il offre ça au bon Dieu comme un tableau de chasse, fier de lui. Evidemment, le bon Dieu n’agréait pas. Caïn s’enfonce alors dans le meurtre. Ne pouvant avoir le courage d’égaler son frère, et voulant vivre dans la facilité, il trouve plus facile de l’éliminer physiquement (oeuvre de fainéant également).
Nous avons donc là les deux fautes originelles:
1. l’abstraction et la haine du FILS de Dieu (c’est à dire la création universelle), et le révolte contre Dieu (idolâtrie).
2. la fainéantise humaine, et le refus de se fatiguer soi-même (faisons travailler les autres et vivons comme un Pharaon) qui conduit, en fin de course, au meurtre de l’homme par l’homme.
A noter que pour résoudre ces deux fautes, le bon Dieu donne deux tables.
Une pour chaque faute. Ainsi les quatre premiers commandements se trouvent sur la première table, et concernent la première faute, celle de l’homme contre son Dieu, et les conseils que Dieu donne pour guérir la faute. Les six autres commandements se trouvent sur la seconde table, celle qui tente de freiner la révolte psychopathique et effrénée de l’homme fainéant et jaloux contre son frère.